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a passion y était considérée comme une maladie ou
folie
. À partir du xiie siècle, sous l’influence de la mystique cathare et
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e que de remords que je me rappelle, ce soir, ces
folies
-là. Nous vivions dans une sorte d’euphorie constante, coupée de somno
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ante : Ils ne continueront pas toujours, car leur
folie
devient évidente aux yeux de tous. » Plt D. de Rougemont 6. Bien en
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isses, qui voulaient profiter des avantages de la
folie
moderne, et qui se plaignent aujourd’hui de devoir payer leur part mi