1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 roit d’exprimer toutes les sagesses et toutes les folies concevables ; droit à la religion de notre choix, et droit de n’en ch
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 où il commence d’entrevoir l’étendue de sa propre folie et d’en chercher la cure qu’il peut seul inventer. La révolte cont
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
3 ands » après le 20 juillet ? 3. Pour illustrer la folie du despote, K. cite les inculpations d’espionnage pour le compte de l
4 ment ce qu’a fait le rapport de K. Au sujet de la folie de Staline, K. recourt au même procédé de mystification ou de camoufl
5 avoris. Au vrai, ce n’est pas tel ou tel trait de folie d’un dictateur qui doit retenir l’attention, mais le fait de la dicta
6 utes ces choses ne sont plus niées (les camps, la folie de Staline, son incapacité militaire, sa politique « erronée », ses f
7 etc. C’est la terreur policière, la dictature, la folie acclamée du dictateur. Des poèmes comme ceux d’Aragon à la gloire de
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
8 s de professorat, une longue solitude errante, la folie à 44 ans. L’un et l’autre ont produit en une quinzaine d’années leur
9   Le « cas Nietzsche » n’a pas été tranché par la folie . Et personne n’en a mieux formulé les données que Nietzsche lui-même.