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, et ces gens pressés et songeurs respectaient la
folie
douloureuse qui devait contracter mon visage. Je promenais sur tous d
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r et nous revêtent miraculeusement d’aigrettes de
folies
et de joies ; n’allez pas nous toucher, nous sommes dangereux. Un ora
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naissante se glisse un poème où vous aimiez à la
folie
votre douleur. Narcisse se contemple au miroir de son monocle. Au pet
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taques identiques de deux des grands poèmes de la
folie
: Nah ist Und schwer zu fassen der Gott21 Reif sind, in Feuer getau