1
littérateur. Qu’un homme cherche à juger quelque
folie
contemporaine, choisie parmi les plus pratiquement meurtrières (le na
2
r des raisons, plus ou moins bonnes, mais par des
folies
qualifiées, adorées comme telles par les masses aussi bien que par le
3
geront rien, dit le bon sens. Mais j’ai ma petite
folie
aussi, qui ne crie pas avec les leurs, et qui se croit dans son bon s
4
in, pour renoncer à être un homme. La plupart des
folies
qu’on nous dit toutes-puissantes, et devant lesquelles on se courbe p
5
es dieux que nous nous fabriquons avec toutes nos
folies
, et que nous invoquons contre nos désespoirs trop vrais ; ce sont les
6
que. 1° Le christianisme est d’abord risque et
folie
. Le Christ dit à deux pécheurs, qu’il surprend à leur travail : « Sui
7
ture qui ne ressemble à rien de connu, qui est la
folie
même. À ce risque matériel qui se retrouve à tous les moments de la v
8
de force à la raison d’État ? C’est bien déjà la
folie
unitaire, le mal fasciste, qui pousse le Roi-Soleil à persécuter la R
9
de paralysie progressive. Et de là viennent cette
folie
des grandeurs aux premiers temps, cet activisme délirant, cette stéri
10
ie nature, apparaît comme un cas privilégié de la
folie
capitaliste-matérialiste. Non, ce n’est pas une classe que nous devon
11
aucun d’entre eux qu’il ait commis la plus minime
folie
. Beaucoup « adhèrent » au communisme, aucun ne renonce à son argent.
12
re lui-même les coups de force de l’histoire !
Folies
J’ai parlé plusieurs fois de « folies » politiques. Ne l’ai-je pas
13
ire ! Folies J’ai parlé plusieurs fois de «
folies
» politiques. Ne l’ai-je pas fait avec plus d’indignation que de piti
14
se traitent de fous par manière d’injure. Mais la
folie
demande plutôt des soins que des injures. Cruauté de la politique : n