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ion reste impensable, cette identité scandaleuse.
Folie
pour les Grecs, dit saint Paul, et scandale pour les israélites. Un j
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ent rigoureusement logique jusqu’au système de sa
folie
. Mais l’irruption de cette « magie » est si violente qu’elle a certai
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nt. L’un, c’est la mort accidentelle, l’autre, la
folie
qui l’abat. Un seul parvint dans l’intégrité de sa force à une mort q
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fonds maniaques, — si près qu’ils aient été de la
folie
et de la souveraineté totale de leur idée, je dis qu’ils n’ont jamais
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dise pour soi-même : je ne le puis pas. Si c’est
folie
que tous croient devoir l’être, — c’est une folie aussi que nul ne ve
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folie que tous croient devoir l’être, — c’est une
folie
aussi que nul ne veuille l’être. » 7« Sancta simplicitas » San
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un grand fond d’absurdité. III« K. » Entre la
folie
de Kierkegaard et la sagesse de Goethe Il semble bien que le Châte
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r, et celui-ci n’eût pas manqué de condamner la «
folie
» et l’« absurde » du Danois, au nom de l’équilibre vital passionnéme
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ur ? Est-il vrai que la passion, l’angoisse et la
folie
soient moins réelles que nos sagesses tyranniques ? « Songe est menso