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l’homme et du monde, et suppose une foi dans leur
fondement
commun, « fondement de l’être dans le monde, à savoir Dieu ». Ces der
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et suppose une foi dans leur fondement commun, «
fondement
de l’être dans le monde, à savoir Dieu ». Ces derniers mots sont d’Er
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le. Pour développer en moins de cent pages de ses
Fondements
de la musique ce qu’il nomme sa « phénoménologie de Dieu », qui est e
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ce et la période des sons, et de définitions du «
fondement
» et de la « relationalité », nous assistons à la reconstruction tout
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Dieu n’étant pas l’objet d’un problème, mais « le
fondement
commun du monde et de notre existence dans le monde », la question de
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istant de l’œuvre. Et voici que l’analyse de ce «
fondement
» conduit à retrouver par l’intérieur les grandes notions traditionne
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Et la foi, qui « se porte sur Dieu » comme sur le
fondement
de notre lien au monde. Et la Grâce, « réponse du monde à notre ouver