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n suffire à fédérer nos vérités partielles en une
force
vivante. Allons-y viribus unitis ! Car cela est clair : ni les gauche
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dès lors qu’il l’a mis en question, et qu’il nous
force
au réalisme à sa manière, le charme est détruit dans nos vies. Nous s
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t chaque être présent questionnait, répondait. La
force
était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune obscure,
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la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
force
était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se
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d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta
force
devient visible, c’est comme le sang, c’est que tu es blessé, ta vie
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sang, c’est que tu es blessé, ta vie s’en va). La
force
était mémoire et allusion, elle était ce vieil arbre tenace. Elle éta
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re conquis, l’Allemand s’est senti dominé par une
force
étrange et qui l’intimidait : le regard sérieux de l’homme et de la f
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eur paraissaient faux, périmés ou illusoires. Les
forces
politiques en apparence les plus opposées se trouvaient agir en fait
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— fussent-ils aussi abstraits que les fameuses «
forces
économiques » — mais de l’homme, mesure de toutes choses. La grande q
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ou d’efficacité, qu’au sein d’un groupe donné de
forces
. L’homme, par exemple, n’est réel que dans une communauté ni trop étr
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rme. C’est pourquoi, se plaçant dans la ligne des
forces
les plus actives, sinon les plus spectaculaires du siècle, le personn
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nconscient se révoltent soudain et l’attaquent en
force
, par une espèce d’éruption volcanique nommée névrose. Alors l’homme s
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nt l’existence impossible. Il se persuade que des
forces
absolument distinctes de son être l’attaquent avec une férocité sans
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Sinon, il faudra l’enfermer dans une camisole de
force
. Il ne fera plus de mal, mais il restera fou. Au Moyen Âge, on disait
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as à tomber épuisée et à se passer la camisole de
force
d’un régime d’ordre pour incurables : ce sera la paix. La santé vaudr
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ir ; sinon soyons certains qu’ils vont revenir en
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, sous un déguisement séduisant, ou sous la forme d’un monstre archaïq
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de digues et de l’interruption catastrophique des
forces
sombres de la cité. La raison peut nier ou négliger ces forces, elle
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s de la cité. La raison peut nier ou négliger ces
forces
, elle ne peut pas les enchaîner. Si elle détruit tous les moyens conn
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’argent ne chasse pas les démons. 9. Instincts,
forces
considérées comme anarchiques, subversives ou invérifiables, basses c
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on de Paris, le peintre Emlen Etting, attaché aux
forces
américaines, et son ami André Lhote, furent les premiers à pénétrer d
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aient des types de vie haute, et réveillaient des
forces
endormies. Le conte était le libre déploiement des réalités mêmes de
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miter la vie, qui ne commence et ne finit jamais.
Force
lui est donc d’entrer comme par hasard, au milieu d’une situation, d’
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ues et communes : dès Conan Doyle, elles ont pris
force
contraignante. Ses personnages sont constants comme ceux de la Commed
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ement à la pensée de la Fin, refuse de toutes ses
forces
de la « réaliser », bien plus, s’applique à la disqualifier, à la ren
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és pour arbitrer. Autrement ce n’est qu’un jeu de
force
, et le premier qui tire aura gagné, quel que soit le mordant de l’inf
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t chaque être présent questionnait, répondait. La
force
était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune obscure,
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la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
force
était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se
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d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta
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devient visible, c’est comme le sang, c’est que tu es blessé, ta vie
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ang, c’est que tu es blessé, ta vie s’en va !) La
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était mémoire et allusion. Elle était ce vieil arbre tenace. Elle éta