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ielle le désir lâche d’un « ordre » imposé par la
force
, d’une « mise au pas » brutale qui nous dispense de nous sentir les r
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rer de l’État. Un peu de civisme l’eût arrêté. Sa
force
n’a été faite que de lâchetés accumulées, et de calculs dits « réalis
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s-nous tout d’abord dans l’hypothèse que seule la
force
matérielle peut résister à une menace totalitaire. La conséquence qui
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je vous parlais, et voilà la conscience de notre
force
véritable. Si nous avons le droit et le devoir de rester neutres, ce
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es. Je dis que le salut serait de les trouver. La
force
des totalitaires c’est d’entraîner les démocrates sur un terrain où i
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avec des quartiers de roche ; je veux dire que la
force
du faible, c’est de refuser le jeu du fort, et de le déconcerter par
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Les primitifs ont l’habitude de personnifier les
forces
mauvaises qui les menacent. S’ils sont malades, ils pensent que c’est
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plus on y échange de mots, plus ils perdent leur
force
et leur sens, et leur délicatesse d’appel. Alors les écrivains, qui n
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de toute communauté. Alors paraît le règne de la
force
! Si nulle autorité spirituelle ne peut fixer le sens des mots, la pr
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errestres. En appelant et préparant de toutes nos
forces
une Europe fédéralisée, nous ne demanderons pas un paradis sur terre.
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sprit de lourdeur, comme disait Nietzsche, et les
forces
de création, la lutte sera toujours ouverte, tant qu’il y aura du péc
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tant, si nous en triomphons, elle nous donnera la
force
de préparer l’avenir. Il est dur de reconnaître ces fautes, parce que
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grandeur de cette heure sévère, c’est que par la
force
des choses, par la brutalité démesurée des choses, nous sommes réduit
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sait, et l’événement seul fera la preuve de notre
force
ou de nos faiblesses. En attendant, mettons-nous au travail pour qu’a
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ux effets moraux, sur notre peuple, de ce tour de
force
prolongé, ils sont hélas plus discutables. Et si vraiment notre neutr
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ienne entière, qu’elle mette en commun toutes ses
forces
pour relever son économie, son niveau de vie, son moral, et pour assu
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propre intérêt soit seul en cause dans le jeu des
forces
politiques de notre temps ! Où donc ai-je soutenu « sans réserve » qu
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ergents harcelants, je m’appliquais de toutes mes
forces
à bien tirer. Mais je suivais les conseils d’ordonnance, et tirais au
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ndre et nous mouvoir. C’est du but que d’abord la
force
vient à nous, déclenchant le mouvement inverse, par attrait. La consi