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tive, mais ce n’est pas sans avoir reconnu que sa
force
persuasive vient de ce que seul, aujourd’hui, il prétend résoudre cet
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liser, de négliger. Il n’y a pas, en vérité, de «
forces
chrétiennes » spécifiques constituées, existant en elles-mêmes, qui a
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exemple, dégager de leurs complicités avec les «
forces
du monde ». Le chrétien ne connaît pas d’autre force réelle que celle
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es du monde ». Le chrétien ne connaît pas d’autre
force
réelle que celle de la foi. Or cette unique force ne lui appartient p
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force réelle que celle de la foi. Or cette unique
force
ne lui appartient pas ; tout au plus le saisit-elle, d’une manière im
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’il le fonde, c’est en réalité sur une tout autre
force
que celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de puissance et de
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rétienne de la foi. La foi, pour elles, est une «
force
» que l’homme peut se procurer, apprivoiser, réglementer, administrer
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réglementer, administrer dans la durée. C’est une
force
que l’Église aurait, une fois pour toutes. Et cette possession serait
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en le sanctionnant naguère, elle a perdu la seule
force
qui le dominait. « Car le péché n’est pas le dérèglement de la chair
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er notre christianisme contre le monde, comme une
force
positive contre une force de même ordre. Assez de cette « politique c
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tre le monde, comme une force positive contre une
force
de même ordre. Assez de cette « politique chrétienne » où l’on embarq
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e seule Rupture effective surpasse absolument nos
forces
, en même temps qu’elle en exige tout : c’est la conversion. 1. L’Ég
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nstatons dans l’histoire, font figure de coups de
force
contre toute raison et causalité claire. Ils sont là en dépit de la f
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ir dans sa précieuse intégrité. Orgueilleux de sa
force
, il refuse de l’exercer, de l’engager dans des limites objectives. Il
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ur laquelle ils se sont battus et qui n’a plus la
force
d’utiliser leurs énergies, est incapable de les protéger à l’étranger
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agique de l’Allemagne actuelle, que son destin la
force
à n’envisager plus le sort de l’homme que sous l’aspect de la nation
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t-être, logiquement et en fait, à un seul mot. Je
force
le raisonnement à l’absurde pour faire apparaître le caractère propre
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ef tout ce que Keyserling appelle l’irruption des
forces
telluriques. Keyserling disait un jour qu’il considérait à cet égard
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ense par ailleurs des témoignages éclatants de sa
force
. Très efficace dans la pratique, car l’enseignement officiel de la Tr
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dans l’idée que l’esprit « distinct » reste sans
force
créatrice. Plus l’esprit se refuse à l’engagement, plus il lui paraît
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ation, d’esprit actif, mieux il se vend. La crise
force
les éditeurs à se faire les interprètes du public auprès de l’auteur,
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Au début, on avait représenté les masses comme la
force
impulsive de l’évolution politique ; on reconnut alors peu à peu que
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art, nous permettent d’affirmer que, de gré ou de
force
, le Plan est bien ce rappel permanent des fins dernières conçues par
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ent s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la
Force
des Choses ; en vertu d’un esprit étranger… ⁂ Résumons les données de
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oué jusqu’ici dans leur tentative de créer par la
force
une commune mesure pour la pensée et l’action. La démonstration que j
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commencera la conquête d’un avenir de joie et de
force
. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cela derrière s
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temps où on les mesure. Seuls donc les groupes de
forces
ou d’hommes, exactement situés dans le temps ou l’espace, peuvent en
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et non dans la défense, ou dans l’imitation. À la
force
vivante de destins impériaux, n’opposons pas des droits que justement
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t toute la crise dénonce et rend caducs, mais une
force
nouvelle qui résolve la crise dans le sens de notre destin. 5. Le
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e notre destin. 5. Le dilemme. Je parle ici de
forces
totales, de crise totale, et de destins communs : forces, crise et de
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totales, de crise totale, et de destins communs :
forces
, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et culturels. L’
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e. Ils ont fondé des religions dont le but est la
force
commune. Ils ont su se créer des symboles grandioses. Ces symboles no
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nom d’un acte de foi contraire. Elles veulent la
force
et nous voulons la vérité. Elles veulent la force du grand nombre, et
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force et nous voulons la vérité. Elles veulent la
force
du grand nombre, et nous voulons la force personnelle, celle que donn
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lent la force du grand nombre, et nous voulons la
force
personnelle, celle que donne la vérité. Notre mesure commune ne sera
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la masse. 6. La violence nécessaire. Car notre
force
est personnelle et non pas collective. Elle réside dans les petits gr
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pas une construction mécanisée. Et la santé et la
force
d’un corps supposent l’harmonie de fonctions diversifiées, saines et
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e harmonie « fédérale ». Restaurer, recréer cette
force
, bâtir cette fédération de personnes et de groupes organiques, c’est
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ni de le répéter. Est-ce à dire qu’affirmer notre
force
en face d’impérialismes conquérants mène à la guerre ? Oui, si nous l
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la révolution des « libéraux » peut influencer, à
force
égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacré
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me que son métier contraint à dissimuler sa vraie
force
. Car de l’auteur tout comme de son modèle légendaire, nous voyons bie
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nopoles privés, la personne humaine, cette grande
force
spirituelle, est traquée… — Le capitalisme détruit la famille… ruine
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Il est temps de donner le pas à l’esprit sur les
forces
de la matière. — Au-dessus de tout, ils placent l’homme. — Notre sens
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us ceux qui cherchent à connaître l’état réel des
forces
dans le monde présent. Qu’on n’aille pas se figurer qu’il s’agit d’un
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ion de la volonté humaine, de l’athéisme et de la
force
, qui sont devenus les valeurs fondamentales du stalinisme, au moins a
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de ce nom. « La seule société pleine de vie et de
force
, écrit G. Bataille, la seule société libre est la société bi ou polyc
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qu’il y a de clarté, d’éclat doux, d’abandon à la
force
sereine de l’air, tout cela dit par les trois syllabes de ce mot qui
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rouve son point d’attache, découvre sa mesure, sa
force
ou sa faiblesse, touche à son terme dans le cœur d’un homme. Je dois
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de d’avoir voulu « redonner à l’homme civilisé la
force
de ses instincts primitifs ». Comme si l’instinct primitif ne poussai
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exploiter son semblable, pour peu qu’il en ait la
force
! Comme si la civilisation, au vrai sens, ne consistait pas justement
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la vérité qu’au service de l’action, vénèrent la
force
, et pratiquent la religion de la lutte et de la vie dangereuse : en c
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itaire prenant les enfants au berceau. Car aucune
force
matérielle ne pourra jamais remplacer, pour un petit pays comme le nô
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proclament à son de trompe, il est clair que leur
force
est là, et qu’en les admirant, en les enviant, nous sommes précisémen
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ement profanée, et par suite dénaturée. Voici les
forces
en présence : d’une part, une morale de l’espèce et de la société en
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ntie. Et la seule garantie concevable est dans la
force
de la décision en vertu de laquelle on s’engage pour toute la vie, «
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isent l’Europe par l’importance qu’elle donne aux
forces
passionnelles. Ils y voient l’héritage du christianisme et le secret
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hristianisme » ou le « changement d’adresse d’une
force
que le christianisme a réveillée et orientée vers Dieu »102. Il est p
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nationale » exige la collaboration de toutes les
forces
créatrices, et en particulier de la technique. C’est alors la passion
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915. Mais cette union tout à fait monstrueuse des
forces
de mort et des forces créatrices va dénaturer à la fois la guerre et
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tout à fait monstrueuse des forces de mort et des
forces
créatrices va dénaturer à la fois la guerre et le génie technique. La
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e crois voir la réponse dans votre conclusion. Et
force
m’est alors de reconnaître qu’à l’origine de ce débat il n’y a pas se
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e la marine de guerre, et comme pour démontrer sa
force
à toute épreuve, les expériences de Bikini ? C’était un clair avertis
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endre et de s’améliorer. J’y vois la marque de sa
force
. Qui n’a pas lu les éreintements de l’esprit américain auxquels se li