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t précis de l’histoire où l’esprit doit entrer en
force
dans un monde abandonné depuis des siècles à l’oppression des détermi
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et du suicide. La plupart de ces fabricants de «
forces
économiques » sont conscients de leur démission spirituelle. D’où la
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notaire. Ils souffrent de l’injustice, mais sans
force
pour concevoir l’ordre. Ni l’infamie, ni l’utopie ! disent-ils. Enten
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créateur de rapports nouveaux dans la société, de
forces
sociales nouvelles. Le spirituel, c’est le mouvement, c’est le pouvoi
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ouve l’argent pour payer les soldats. Mais que la
force
spirituelle fasse défaut, l’armée ne sera plus une arme entre ses mai
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er, et c’est elle qui vaincra sans coup férir une
force
brutale dont le « pouvoir » ne sait que faire. Mais, dira-t-on, que s
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ns acquises, ou encore de vouloir « détourner les
forces
prolétariennes », — ils savent peut-être ce qu’ils disent, mais sûrem
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té avec le principe de tout conflit, et sont sans
forces
contre les conflits qui surgissent. Elles essaient alors de déshumani
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t des aptitudes différentes, les composent en une
force
nouvelle. L’homme n’est humain que lorsqu’il manifeste sa raison d’êt
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sa promulgation ? I On sait par quel coup de
force
politique Henri IV prétendit mettre fin à la lutte des ligueurs et de
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e du pays. b) Le conflit spirituel étouffé par la
force
, sans être en rien résolu pour autant, fermente et empoisonne la vie
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er de fièvre et un facteur d’énervement. Les deux
forces
antagonistes artificiellement séparées se corrompent chacune pour son
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la plupart de leurs temples, « converti » par la
force
300 000 réformés, chassé de France les plus actifs d’entre eux. Les i
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patriotique, destructeur à gauche et à droite des
forces
vives du pays. À l’heure présente, une chose est claire : le Front po
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éclame à cette honnêteté civique qui constitue la
force
la plus réelle du mouvement des Croix-de-Feu. Tirons notre chapeau au
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fficace. 4. — Pronostic En présence de deux
forces
bien définies, on peut toujours prévoir la forme au moins — sinon l’i
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d’autre qu’une confusion indescriptible ? Coup de
force
, guerre civile, combinaisons imprévues d’éléments de gauche et d’élém
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versaire dont on surestime de part et d’autre les
forces
. Mais nous sommes payés pour savoir que la confusion politique, en te
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peu importe, le danger est pareil. À moins qu’une
force
nouvelle n’apparaisse, qui ne soit ni de droite ni de gauche, mais qu
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èmes sont de droite ou de gauche. Cette troisième
force
existe-t-elle ? Je me bornerai à citer un fait symbolique. Du point d
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nous ne sommes jamais allés jusqu’au bout de nos
forces
. Il y a un instinct profond, dans tout homme, qui réclame cette épreu
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ut homme, qui réclame cette épreuve totale de ses
forces
. Comment le satisfaire ? Moi. — Je vous aurais dit, il y a dix ans :
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cela pour provoquer le déploiement de toutes nos
forces
viriles. On ne peut pourtant pas le nier, purement et simplement au n
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Pologne entre deux. Mais surtout il nous faut une
force
, à l’intérieur, pour assurer la défense du régime. Moi. — J’en revie
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donnez-vous à cette question de l’utilisation des
forces
obscures, brutales, de l’homme ? La préparation à la guerre. Et quand
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: tirer des conflits naturels et nécessaires des
forces
nouvelles, et non pas aboutir à la suppression d’un des antagonistes.
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xistant pas encore, il fallait créer de gré ou de
force
ses conditions. On peut contester la légitimité de la fin poursuivie,
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eul parti aux électeurs. Mais c’est au-dessus des
forces
d’un simple mortel de faire comprendre à tout citoyen 46 programmes d
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arge, ni d’un grade, ni d’une tradition, ni de la
force
du nombre, ou d’un tyran, ou de l’argent ; ni de la police, ni de la
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du chef. Car les insignes du pouvoir n’ont aucune
force
dès que défaille la confiance dans l’homme qui les porte, comme le pr
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qui est de Paul Valéry : « Le pouvoir n’a que la
force
qu’on veut bien lui attribuer : même le plus brutal est fondé sur la
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qu’en pleine lutte.) Il n’ose plus intervenir en
force
, s’imposer à ses risques et périls, reprendre la conduite des événeme
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ensky, ni Schleicher n’ont su faire usage de la «
force
», de l’armée et de la police, bref du pouvoir dont ils étaient les c
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e pouvoir lui-même, qui passe pour un effet de la
force
, est essentiellement une valeur spirituelle. » Nous dirions évidemmen
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orale de la nation et le libre déploiement de ses
forces
créatrices. Le but est d’abord de faire triompher tel parti dont on e
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tte des partis, il doit se déclarer de toutes ses
forces
antipolitique. b) On appelle aussi « politique » la rumeur confuse d
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’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse de sa
force
, libérée de tout tragique, et comme délivrée par l’État de l’oppressi
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ir communs à la politique, à la culture, à toutes
forces
créatrices de ce pays. 41. Prétendre entrer dans un parti — le moin
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le machinisme permettant de faire une économie de
force
encore plus grande que les inventions de la pré-Renaissance, il s’agi
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t les socialistes, sans étatiser du même coup les
forces
morales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la guerre : pour réu
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de même sent la nécessité de regrouper toutes les
forces
allemandes pour tenir tête à la double pression qu’exercent les Allié
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er, par contre, c’est que le capitalisme a été la
force
de dissociation sociale la plus puissante des civilisations de l’Occi
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e la nation… mythes qu’il faut ensuite imposer de
force
à la conscience de tout un chacun (ce qui prouve qu’ils ne sont ni sp
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en donnez, il se confondra nécessairement, par la
force
des choses, avec un super-État. Nous répondrons en renvoyant nos étud