1 rine — ou du moins, sans doctrine trop clairement formulée . Ce n’est guère qu’au xixe siècle qu’on se mit à parler de fédéralis

2 hé commun. Telle est donc la question européenne. Formulée tout d’abord par des intellectuels et des utopistes mal écoutés et pe

3 irement, sinon de résoudre.) Je suis donc amené à formuler la thèse suivante : la technique, en principe, n’est pas plus un fact

4 C’est un message du Prince Louis de Broglie qui a formulé cette idée, que nous avons fait aboutir ensuite, via l’Unesco, de man

5 tat-nation, le régime à prescrire paraît facile à formuler  : Parce qu’ils sont trop petits, les États-nations devraient se fédér

6 devraient se fédéraliser à l’intérieur. Facile à formuler , mais presque impossible à appliquer par nos États-nations, dirait-on

7 e de structures fédérales en Europe, Louis Armand formulait récemment une règle d’or qui trouve ici son application majeure : D

8 ité surtout de ses prises de position qui étaient formulées , rappelons-le, avant la guerre. Mais justement la contestation étudia