1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 e confusion présente. C’est qu’il permet aussi de formuler certaines relations permanentes noyées sous les vulgarités minutieuse
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 s et les mœurs, une première conclusion peut être formulée dès à présent : L’amour-passion est apparu en Occident comme l’un des
3 s eût créés !) Or dès qu’un historien se risque à formuler une hypothèse sur l’origine de la rhétorique courtoise, les spécialis
4 d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se formuler le sens des symboles qu’il emploie, ni d’en prendre une conscience di
5 d’indiquer des relations de cause à effet, et de formuler expressément des conclusions que l’on pourrait citer hors du contexte
6 oser des « preuves » écrites. 44. On la trouvera formulée page 84, et discutée plus amplement au chapitre 10. 45. Otto Rahn, C