1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 se directrice de cet ouvrage peut être maintenant formulée en fonction de ces analogies. Elle consiste à poser que l’attitude or
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 rs régimes, ont aussi la plus grande répugnance à formuler clairement les principes qu’ils observent. L’Angleterre met une coque
3 ont refusé soigneusement — jusqu’à nos jours — de formuler la doctrine de ce fédéralisme qu’ils ont pourtant vécu pendant des si
4 tout cela, des vieilles antinomies fondamentales formulées par les présocratiques, et que vingt-cinq siècles de pensée n’ont pas
5 e pas un problème de logique (sauf s’il s’agit de formuler un dogme), parce qu’elle est l’événement de la Médiation. Elle n’est
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
6 tionner une certaine approche du réel. Formées et formulées par la théologie d’où procèdent nos philosophies, elles ont déterminé
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
7 ent de dépassement ou de retrait en deçà du dogme formulé  ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur renoncement