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er Schlemihl Peter est un naïf : il croit à la
fortune
. Il croit surtout qu’elle seule assure à l’homme une dignité. C’est u
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. Le complexe d’infériorité à peine défait par la
fortune
subite, se renoue, cette fois-ci sans remède. Il ne tarde pas à tourn
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de Kierkegaard. Il devint commerçant, amassa une
fortune
, et c’est ainsi que Kierkegaard reçut en héritage, après une sévère é
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ir considéré comme une révolte contre Dieu. De sa
fortune
, il ne voulut tirer nul intérêt : il la confia à l’un de ses frères,
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’aperçut qu’il n’en restait que 200 francs. Cette
fortune
provenait d’une malédiction, pensait-il. Il l’avait donc dilapidée sa
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t c’est ta foi. 85. Kierkegaard avait déposé sa
fortune
, réalisée en argent liquide, chez son beau-frère. Il était adversaire