1 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
1 ornes à celle de la queue. L’origine agricole des fortunes argentines, quoique bien proche, n’est pas sensible dans les mœurs de
2 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
2 , il doit être possible de déterminer le degré de fortune ou d’infortune d’un auteur d’après ses descriptions du monde. 17 a
3 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
3 epos hebdomadaire, mais je suis en train de faire fortune  ! J’essaie de me la représenter avec ses lunettes noires, sa visière
4 1946, Journal des deux mondes. Virginie
4 méprisante quand on leur parle d’une très grosse fortune , feraient de mauvais pauvres et de mauvais amis. C’est passionnant, l
5 t de mauvais amis. C’est passionnant, les énormes fortunes . Passionnant à regarder de près, plutôt qu’à posséder soi-même, bien
6 d’hui ?… Or j’ai senti que le mystère des grandes fortunes tient à ce que nul ne peut répondre à ces questions, même en multipli
7 est loin d’être le plus puissant puisque toute sa fortune ne travaille et ne consiste que dans une seule grosse entreprise, la