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mpromet la source principale de l’alimentation de
fortune
que certains, il y a peu, envisageaient pour l’an 2000. D’autre part,
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our épater le monde. Ce qui commence à valoir des
fortunes
, c’est le contraire de ce que « Concorde » symbolise. Le luxe suprême
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ls les attribuent selon l’époque, aux dieux, à la
Fortune
aveugle, au Hasard ou à la Providence, et aujourd’hui à des « nécessi
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t au diagnostic du club de Rome. Ils amassent des
fortunes
en croissance exponentielle qui les mettraient, selon la déclaration
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it appeler les classes privilégiées de l’esprit :
fortunes
oisives ou misères sans espoir. On en rencontre encore parmi les jeun
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1922. 101. Cf. A. Sauvy, Les Quatre roues de la
fortune
, Flammarion, Paris, 1968, p. 149. Et encore, dans le même ouvrage : «