1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ignes où des renards sortirent à la lisière de la forêt , des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma mère me
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 lée où le train longtemps côtoya une rivière, des forêts . Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample
3 ns, puis de nouveau m’enfonçant au hasard dans la forêt . Vers le soir, j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime de
4 ntait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de clarté devant
5 Mythes de l’ombre et des frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences ob
6 r, au moment de me quitter après une promenade en forêt , elle a rapidement noué son collier à mon poignet : « pour que je rêv
7 , de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt , de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du vio
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
8 e odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt , et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’évei
9 rands cerfs de bronze. La piste se fait plane, la forêt s’ordonne. Échappée sur des étangs couverts de mousse jaune. (Tout à
10 nneuse — et parfois hors des pistes, à travers la forêt  —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, s
11 lus loin vers la Russie, dans un pays de lacs, de forêts maigres et de pâturages, à perte de vue. Nous sommes pour trois jours
12 en j’aimais ces randonnées interminables dans les forêts de chasse : on allait deux à deux, l’arme en ballant, durant des heur
13 ne et animale du silence. Le long de la crête des forêts , une rougissante lueur avance de l’Occident vers l’Orient. 19. Bra