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passera rien, avant longtemps, dans ces champs et
forêts
où nous marchons sans suivre les chemins. (À ce petit signe nous sent
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on, des prairies montent jusqu’aux lisières de la
forêt
de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, des avions pa
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ar deux détonations qui semblaient provenir de la
forêt
. Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au
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ine au-delà de ces falaises orangées, frangées de
forêts
d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se p
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ine campagne, et l’on cesse de sentir l’Amérique.
Forêts
et plaines ondulées, quelques villages en bordure de la route avec le
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ontre une plante à trois feuilles qui infeste les
forêts
de l’Est et que l’on nomme poison ivy. Son contact, ou parfois sa seu
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ts lacs secrets de New Hampshire, perdus dans les
forêts
de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux
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tral-Park. J’étais devant le Zoo. Au-dessus d’une
forêt
de tous les continents, vert électrique sur un ciel noir, se dressaie
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gunes sinueuses qui s’avancent dans un paysage de
forêts
et d’îles tropicales. « Je voulais une cabane et c’est le Palais de V
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-on. Mais ce ne sont d’abord que plaines neutres,
forêts
de chênes et de sapins. Puis lentement ce paysage intermédiaire se co
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on n’oublie pas l’esprit qui règne encore sur les
forêts
et sur les lacs innombrables du continent, l’esprit subtil et ombrage
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Déjà les biches et les daims sont amenés dans les
forêts
de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs p
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n ouragan de neige horizontale, sur le désert des
forêts
canadiennes aux lacs gelés. Nous dûmes passer toute une nuit dans les