1 fonte transforma le continent en marécage puis en forêt vierge. Ainsi fut anéantie, vers l’an 8000 av. J.-C., la civilisation

2 notre continent et pénétrer profondément dans sa forêt centrale, au-delà des régions côtières et des immenses oliveraies qui

3 a Seine et à la Loire. Ils avancent en brûlant la forêt , cultivent les terres enrichies par la cendre, les abandonnent bientô

4 les abandonnent bientôt, brûlent d’autres pans de forêts , avancent lentement. Un autre courant de colons venus par mer des riv

5 us deux allèrent sur le continent, et le haut des forêts s’agitait sous leurs pieds. Strabon, Grec du Pont, écrivant sous le

6 Cette région, que la nature n’avait ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissantes, s’est couverte de cité

7 rtèrent eux-mêmes la lumière dans leurs anciennes forêts , et jusqu’aux extrémités du Nord. Elle seule a transmis dans nos main

8 coutumes et les mêmes conceptions primitives des forêts de Germanie, ils furent aussi liés les uns aux autres, depuis leur ex

9 stice sans l’échafaud, la vie sans le meurtre, la forêt sans le tigre, la charrue sans le glaive, la parole sans le bâillon,

10 turelles » païennes et barbares qui hantaient les forêts ombragées et les brumeux rivages, il est venu en aide à la tendance s