1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
1 des rois. Puis les derniers saint-simoniens, les fouriéristes , un agitateur italien, Mazzini, un poète de génie, Hugo, et un idéolo
2 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
2 éculations de Teilhard de Chardin, ou les utopies fouriéristes d’André Breton. Qui sait, peut-être n’ai-je été amené à tant m’intére
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
3 e rapides débâcles, comme celles des phalanstères fouriéristes ou de la New Harmony, de Robert Owen — quand ce n’est pas dans l’humi
4 ableau des durées atteintes par les « phalanxes » fouriéristes aux USA : « Le tiers environ n’a pas duré plus d’un an. Une dizaine s
5 uinzaine d’années auparavant, celle des Phalanxes fouriéristes avait à peine commencé. (Elle s’étend de 1841 à 1860 environ.) Quant
6 autés des xixe et xxe siècles, des phalanstères fouriéristes aux communes hippies. Il se peut que Longo Maï et Taizé aient inventé