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archique qui préserve l’homme du désespoir et lui
fournisse
un équilibre durable, dont le péché forme sans doute l’une des compos
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est censée dispenser à toute âme un peu cultivée,
fournit
à la prédication chrétienne un lyrisme qu’elle n’osait plus aller che
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es de Kierkegaard. Le plus frappant est peut-être
fourni
par le passage où Barth traite précisément de la notion de contempora
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notre péché, alors que la sagesse antique pouvait
fournir
l’amorce de si belles synthèses ! « Blasphème ! me dit alors un catho
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bsolu dès qu’on le sépare de l’Écriture, qui nous
fournit
son critère objectif. Pourquoi nos frères catholiques nous reprochent