1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 ller, et beaucoup d’autres de moindre envergure. ( Frappé de constater qu’au sujet de la Suisse, de ses institutions, de sa neu
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
2 rouvent bien, mais ne paraissent pas spécialement frappés . Cela passera donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, télépho
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 core continuer. Je viens de voir une civilisation frappée au cœur, je l’ai vu chanceler, j’ai vu qu’elle peut mourir. J’ai vu l
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 céaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « faces » argentées de l’Empire State, du Chrysler, du Centre Roc
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
5 entendre Bach sans avoir honte d’écrire. Comment frapper les mots d’une touche aussi allègre ? Comment les faire danser de cet
6 1946, Journal des deux mondes. Intermède
6 ns qu’il y avait trop de juifs réfugiés. Des gens frappés par le malheur, où que ce soit, il y en a toujours trop. Cependant no
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 ce qui est exagéré n’est pas sérieux ». Ce qui me frappe le plus dans les films que je citais et dans les témoignages directs