1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 bition plus vaste. C’est donner dès maintenant au futur une prépondérance active sur le passé. Toute renaissance paraît prend
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
2 lle des décisions qui engagent les développements futurs et le télos, ou but dernier, de l’homme. C’est toujours « l’utopie »,
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
3 ologie, en même temps que la garantie d’une unité future du genre humain. Elles s’accordent pour affirmer que l’homme « doit d
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
4 lusion concrète qui peut nous être utile pour une future construction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
5 le-socialiste. C’est lui qui conformera le destin futur de son libre peuple. Ses paroles sont le programme de notre lutte. El
6 rs ; c) l’éducation de la jeunesse, qui assure le futur automatisme du régime. « Nos expériences actuelles nous montrent que
7 dre, un certain cadre dans lequel les productions futures , désirées, seront contraintes de s’ordonner. Règne des films de propa
8 ère qu’une sorte de spéculation sur les créations futures . L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel point la t
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
9 commune » puissante pour toute action culturelle future . Je réponds à ces deux objections : a) Oui, vos circonstances étaien
10 is, c’est que tous nos pays se trouveront un jour futur en face des mêmes tâches décisives dans le domaine culturel. Vous dis
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
11 rrain plus favorable à quelque action ou réaction future , dévaste le champ des possibles, appauvrit nos images, et débilite no