1 sponsable ? À qui doit-il rendre des comptes ? Au futur qui décidera seul, dit l’existentialiste. Donc à l’Histoire, donc à u

2 ent par trop négligés au profit d’on ne sait quel futur . Et une angoisse contre laquelle il est fatal que l’on cherche à se p

3 étatisme, et ne parle même plus de sa suppression future . Au contraire, il fait fusiller ceux qui en parlent. On vous répond q

4 n en Christ, venu au monde. Il n’annonçait pas un futur hypothétique, au nom d’une théorie ardue, mais une présence immédiate

5 ement à un état dernier et invariable, à un terme futur et total, accessible au travers d’une longue tribulation, d’une longu

6 e l’eschaton marxiste, temporel, s’enfuit dans un futur indéfini, — cent ans, mille ans ou deux-mille ans ? — et ne peut exis

7 onditions préliminaires d’une libération toujours future . Je marquerai encore une autre différence, non moins radicale et urge

8 accomplissement, ou plénitude, n’est jamais qu’un futur théorique, — si passionnée que soit l’espérance du marxiste — et non

9 ait. Car le gage de l’action chrétienne n’est pas futur , mais éternel et donc présent. Si, pour sauver le futur de l’Église,

10 mais éternel et donc présent. Si, pour sauver le futur de l’Église, je désobéis dans le présent, je perds tout du même coup,

11 le présent, je perds tout du même coup, présent, futur , éternité. Je crucifie le Christ et je m’oppose à son retour. Il n’es

12 it ». br. L’édition américaine remplace par « a future holocaust ». bs. L’édition américaine supprime la fin du paragraphe