1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ssement, le plus difficile et le seul humainement fécond . Car un tel silence n’est pas absence de mots. C’est encore chez Goet
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
2 ux inspiré s’il développait certaines indications fécondes de sa préface et nous donnait une bonne étude sur le lyrisme romantiq
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
3 de tensions qu’il s’agit d’orienter et de rendre fécondes  : solutions nécessaires et solutions d’urgence ; coutume et loi abstr
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
4 la première nourrissant la seconde de tentations fécondes ou grotesques. Qui sait où cela nous eut menés ? Le livre de Schmidt
5 foisonnèrent au xvie siècle des incitations très fécondes . Encore y faudrait-il une passion de culture que les facilités de l’a
5 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
6 me on le croit généralement en France.) Les gênes fécondes qu’il demandait jadis qu’on rende à l’art, la « critique dogmatique »
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 ute de l’Ouest (inédit). 94. Il serait peut-être fécond d’interpréter le principe de Carnot-Clausius (accroissement général d