1 traindre les États à s’incliner devant un pouvoir fédéral , mettant un terme au règne féodal des souverainetés nationales absolu

2 ganes formeraient le noyau d’un véritable pouvoir fédéral . Il me paraît clair qu’ils impliquent la création d’une force de poli

3 ’ils impliquent la création d’une force de police fédérale . Car enfin, de quoi s’agit-il, sinon de créer un tribunal devant lequ

4 d’une monnaie européenne, la création d’une régie fédérale des houillères (solution du problème de la Ruhr). On doit attendre av

5 ne fédération finale. Il est clair qu’une formule fédérale implique certaines limitations précises des souverainetés nationales.

6 t celui de la source et des fondements du pouvoir fédéral de demain. Dans les couloirs et les clubs de Strasbourg, on a pu voir

7 e Assemblée, pourrait alors préfigurer le Cabinet fédéral de l’Union. Sans préjuger de l’issue d’un tel débat, l’on peut voir d

8 er dans la réalité le principal : la Constitution fédérale . Les commissions de l’Assemblée la proposeront, mais les gouvernement

9 es œuvres mises à l’index par le ministère public fédéral , et dont chaque employé des douanes est censé connaître la liste (Sad

10 liché du fédéralisme « désuet ». Mais l’étiquette fédérale couvre des marchandises de qualités pour le moins diverses selon qu’i

11 is, ou son blocage délibéré aux limites d’un État fédéral . Il ne s’agit pas d’un défaut du fédéralisme, mais d’un défaut de féd

12 cantonales condamner le principe d’une subvention fédérale « parce qu’ici, disait-il, nous sommes fédéralistes ! » Si pareils m

13 e, et s’il est vraisemblable que cette union sera fédérale ou ne sera pas, on sent tous les dangers qu’entraînent en fait les ma

14 le vote d’une constitution, de type plus ou moins fédéral qui peut résoudre une fois pour toutes ce conflit permanent. Il y fau