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s, mais aussi, et du même mouvement, les premiers
fédéralistes
européens organisés. Post-scriptum Un livre tout récent, L’Int
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France ». M. Debré est fermement persuadé que les
fédéralistes
européens ne pensent qu’à ça : dépecer la France. « Les soi-disant ré
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fâme de Rougemont » éclaire bien la politique des
fédéralistes
, laquelle ne vise qu’à « démembrer la France » pour « faire l’Europe
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ché contre l’esprit des jacobins. Et le reste est
fédéralisme
, solidarité hypocrite permettant en réalité aux Autres d’intervenir d
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ans foi jurée, donc sans fœdus, autant dire, sans
fédéralisme
. V. « Défaire la France » ? En ce point, l’on se demande pourqu
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avouer qu’on n’a rien compris à la nature même du
fédéralisme
. C’est oublier, de plus, deux faits qui changent tout : 1. Le traité
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Nos lecteurs savent assez à quel point, pour les
fédéralistes
européens, participation des citoyens et petites unités régionales so
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llienne, sur le thème régional, sont-ils donc les
fédéralistes
européens ? Il y aurait beaucoup à nuancer, partant du fait qu’en 196
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tention avouée de l’affaiblir. En fait, ce régime
fédéraliste
et régionaliste explique en bonne partie le « miracle » de la restaur
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ura proposé une meilleure approximation du modèle
fédéraliste
intégral. Reste le cas décisif des régions transfrontalières. Les col
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re régionalistes et écologistes, mais aussi entre
fédéralistes
européens et régionalistes. 5. Mais je m’aperçois que je devrais pré
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relation avec les organisations régionalistes et
fédéralistes
dans tous nos pays et à l’échelle continentale. — en vue d’établir un
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uteur du Projet de paix perpétuelle (1795), texte
fédéraliste
s’il en fut, dans lequel il démontre que les « tendances antisociales
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ur le dilemme où elle est prise entre sa vocation
fédéraliste
d’union pour les diversités à sauvegarder et la fascination mortelle
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blèmes de l’Europe, des frontières nationales, du
fédéralisme
européen, et de l’Anti-Europe des fascistes et des nazis34. Mais pou
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lence, hélas… Il en ira tout autrement du congrès
fédéraliste
de Montreux, un an plus tard. Où vont se retrouver, après six ans de
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1950 et 196039. Ce que demandent aujourd’hui les
fédéralistes
européens, c’est la coopération active, dans le détail, des actions d
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ois mensuels de modeste présentation, organes des
fédéralistes
français, européens, ou mondiaux. Rien n’est moins à la mode que l’Eu
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ent. G. Gusdorf en décrit les étapes, qui vont du
fédéralisme
empirique pratiqué dans le Saint-Empire au totalitarisme obtus imposé
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ousseau aux personnalistes des années 1930 et aux
fédéralistes
actuels — sur l’unité dans la diversité. « Ce qui s’oppose coopère —
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t c’est l’œcuménisme, ou de politique et c’est le
fédéralisme
. Rien de plus étranger à ce mouvement de l’esprit que la volonté d’un
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Le service civil comme relève du prolétariat ? Le
fédéralisme
antiétatique ? La démocratie directe procédant de bas en haut : commu
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l’Europe — quel que soit son régime — unitaire ou
fédéraliste
— sera « le rempart de notre société » (S. Veil) ou « la condition d’
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les mouvements régionalistes, ou écologistes, ou
fédéralistes
, en France surtout, pourront réunir à temps les fonds nécessaires pou
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De nombreux groupes régionalistes, écologistes ou
fédéralistes
, diffusent des manifestes, liés ou non à des listes de candidats dont
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aque liste.) Signalons parmi ces groupes l’Action
fédéraliste
socialisme et liberté (AFSL) qui insiste sur le fait que ses proposit
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ent est devenu le pont aux ânes de toute critique
fédéraliste
de l’État-nation. On le retrouve de nos jours dans les écrits de J. B
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e » ne peut servir que les ennemis de tout régime
fédéraliste
. Car le Monde du 30 avril 1984 m’apprend que les adversaires des arme
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n. Eux, non ! Ils sont au-delà de tout soupçon de
fédéralisme
clandestin. Mais leur temps va passer inexorablement, et les crises m
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ues des comportements stato-nationaux d’une part,
fédéralistes
de l’autre. Valeurs, modèles et comportements à la fois impliqués par
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s que de longs commentaires sur l’opinion que les
fédéralistes
— et d’abord mes amis de l’UEF — pouvaient se former alors du Conseil
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s présenteront leurs candidats. Et les mouvements
fédéralistes
aussi. Et les groupes d’intérêts professionnels, syndicats patronaux
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elques rosseries, les thèses majeures de mes amis
fédéralistes
en faveur d’une réforme immédiate du Conseil de l’Europe : une Assemb
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ur les séances du conseil contestataire. Tous les
fédéralistes
présents à Strasbourg en ce mois de novembre 1950, et beaucoup de jeu
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je trouve ce bref échange : P.-H. Spaak : — Les
fédéralistes
veulent tout, mais ils ne tiennent pas compte des obstacles réels. Mo
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ec deux ans de retard, Spaak rejoignait enfin les
fédéralistes
, mais en même temps il s’en allait. Pour tous ceux qui avaient mis le
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p) et, last but not least, l’Union européenne des
fédéralistes
(Henri Brugmans, Alexandre Marc, Raymond Silva), qui avait sans cesse
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is, au service de presse, Robert Bichet, chef des
fédéralistes
catholiques : « Vos lettres ont vraiment remué tous mes collègues, je
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l du patronat français. 91. Union européenne des
fédéralistes
, dont Henri Brugmans, Alexandre Marc et Raymond Silva avaient été les
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ques constructives, curieusement sur la base d’un
fédéralisme
, je dis curieusement parce que la France est le pays même de la centr
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ue peu à peu j’ai retrouvé ma tradition suisse de
fédéralisme
poussé encore plus loin que ce n’est le cas aujourd’hui, où une tenda