1 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
1 , où l’auteur s’efforce de sauver les restes d’un fédéralisme dont il faudrait pourtant refaire les bases…) Quant à la position d’H
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
2 ges une seule et même réalité, qui est la réalité fédéraliste . Or il se trouve que notre position personnaliste est fondamentalemen
3 re — au nom de la démocratie réelle, communale et fédéraliste , mais au nom d’intérêts de classe qui ne sont ni démocratiques ni nat
4 faudrait une conscience très forte de la réalité fédéraliste et de ce qu’elle implique à la fois de diversités reconnues, totaleme
5 tuels, de synthèse vivante. Dès que la conscience fédéraliste vient à faiblir, quand par exemple on se met chez nous à l’école de l
6 nts de la région sont absolument dans la ligne du fédéralisme réel78. Mais que valent dans le fait, dans le concret, ces justificat
7 nez par exemple une valeur positive à un principe fédéraliste qui ne traduit historiquement — de même que la neutralité — qu’une cr
8 uctures politiques et morales, et d’une tradition fédéraliste , qui se trouvent réaliser, en théorie, parfois en fait sinon toujours
9 presse locale. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend à se réduire à l’esprit de clocher, à une limitation des horizon
10 ropéennes, mais de la manière la plus fatale à ce fédéralisme tant vanté. Autant de constatations qui dictent à notre action des ob
11 sprit intitulé « Le problème suisse : personne et fédéralisme  », coordonné par Denis de Rougemont et ouvert par une lettre de C. F.
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
12 omiquement parlant) de M. Coquelle-Viance ?   Le Fédéraliste (n° 2, 1938). — Manifeste des Bretons fédéralistes. On s’y réclame tr
13 Fédéraliste (n° 2, 1938). — Manifeste des Bretons fédéralistes . On s’y réclame très curieusement de la « nation » bretonne, du manif
14 clairement écrit, sans équivoques, intégralement fédéraliste (et non régionaliste) doit être considéré comme l’un des premiers act
4 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
15 rmément à d’autres groupes. 22. C’est pourquoi le fédéralisme est la seule forme humaine de la justice. 23. Le but du personnalism
16 communautaires. 24. C’est un but essentiellement fédéraliste . 25. Il ne s’agit pas de s’emparer d’un pouvoir impuissant, mais d’ex
5 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
17 Thèses du fédéralisme (novembre 1948)aw L’Europe absente, démissionnaire, colonisée, c’e
18 et un législatif issus des peuples. […] Seul, le fédéralisme ouvre des voies nouvelles. Seul il peut surmonter — voyez la Suisse —
19 que les libertés : le but, l’essence de la pensée fédéraliste étant précisément de trouver les moyens d’articuler, d’arranger sans
20 ’autonomie et la solidarité, correspond le régime fédéraliste . aw. « Thèses du fédéralisme », Esprit, Paris, n° 150, novembre 194
21 rrespond le régime fédéraliste. aw. « Thèses du fédéralisme  », Esprit, Paris, n° 150, novembre 1948, p. 608-610. Il s’agit d’extr
22 écial d’Esprit sur le thème « Les deux visages du fédéralisme européen ».