1 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
1 est de préparer le terrain pour la reconstruction fédéraliste du monde de demain. Si les totalitaires sont vaincus, ce seront les n
2 nt vaincus, ce seront les nations protestantes et fédéralistes d’esprit qui auront obtenu la victoire. Elles ne sauront la rendre fé
3 a fait leur force : la tradition personnaliste et fédéraliste de la Réforme. Enfin, la troisième perspective qui s’ouvre au protest
2 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
4 elles-mêmes. Une nouvelle Renaissance, qui est le fédéralisme , et une nouvelle Réforme, qui est l’œcuménisme, attendent notre foi e
3 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
5 ’utiliser couramment en France). Toutes les idées fédéralistes , les idées d’autogestion, de région, de modération de la croissance,
6 a mobilisation, que j’ai découvert les trésors du fédéralisme . Nous parlions déjà de fédéralisme, même d’un type de défense village
7 les trésors du fédéralisme. Nous parlions déjà de fédéralisme , même d’un type de défense village par village, en hérisson, à appliq
8 cela m’a permis de découvrir le fonctionnement du fédéralisme . La critique de l’État-nation ne s’adresse donc pas à la Suisse, elle
9 finalement lui-même comme un État-nation. Or, le fédéralisme est impossible dans un seul pays ! Si on veut sauver le fédéralisme s
10 possible dans un seul pays ! Si on veut sauver le fédéralisme suisse, il faut l’étendre aux dimensions du continent, quitte ensuite
11 nnent à cinq pays (et je simplifie encore). Si le fédéralisme consiste à confier aux diverses communautés — municipales, régionales