1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
1 x qu’on a fondés sur l’individu libéral, c’est le fédéralisme . L’individu étant conçu par les juristes à partir de l’ensemble, ses
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
2 ontains. Hitler, en unifiant la vieille Allemagne fédéraliste , a terminé l’œuvre entreprise par le jacobin Bonaparte. Mussolini, en
3 à l’esprit unitaire et qui sauvegarde le principe fédéraliste . Dans l’ordre politique, ce sont les groupes « personnalistes » qui o
3 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
4 iets ; antinationalistes et cependant patriotes ; fédéralistes dans le plan politique européen, et personnalistes dans le plan moral
5 organisation politique radicalement antiétatiste, fédéraliste , ou mieux communaliste. L’assimilation de la personne à un acte, tel
4 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
6 rsonnelles ? Je n’hésite pas à le dire : c’est le fédéralisme . Cette thèse pourra paraître un peu forcée à certains historiens mét
7 raire des plans d’allure et d’intention nettement fédéralistes . L’absolutisme, la collusion des pouvoirs politiques et spirituels, n
8 vivant, respectueux des diversités, c’est-à-dire fédéraliste . Les synodes réformés de France, vers la fin du xvie siècle, préconi
9 je maintiens que la cause profonde de la tendance fédéraliste protestante jusqu’à nos jours, est d’ordre proprement spirituel. C’es
10 rotestants à comprendre et à soutenir les régimes fédéralistes . L’homme ne vaut rien par lui-même, dit Calvin, mais il vaut plus qu
11 dre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme  : la liberté de chacun dans une action commune, l’équilibre vivant de