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x qu’on a fondés sur l’individu libéral, c’est le
fédéralisme
. L’individu étant conçu par les juristes à partir de l’ensemble, ses
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ontains. Hitler, en unifiant la vieille Allemagne
fédéraliste
, a terminé l’œuvre entreprise par le jacobin Bonaparte. Mussolini, en
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à l’esprit unitaire et qui sauvegarde le principe
fédéraliste
. Dans l’ordre politique, ce sont les groupes « personnalistes » qui o
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iets ; antinationalistes et cependant patriotes ;
fédéralistes
dans le plan politique européen, et personnalistes dans le plan moral
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organisation politique radicalement antiétatiste,
fédéraliste
, ou mieux communaliste. L’assimilation de la personne à un acte, tel
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rsonnelles ? Je n’hésite pas à le dire : c’est le
fédéralisme
. Cette thèse pourra paraître un peu forcée à certains historiens mét
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raire des plans d’allure et d’intention nettement
fédéralistes
. L’absolutisme, la collusion des pouvoirs politiques et spirituels, n
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vivant, respectueux des diversités, c’est-à-dire
fédéraliste
. Les synodes réformés de France, vers la fin du xvie siècle, préconi
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je maintiens que la cause profonde de la tendance
fédéraliste
protestante jusqu’à nos jours, est d’ordre proprement spirituel. C’es
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rotestants à comprendre et à soutenir les régimes
fédéralistes
. L’homme ne vaut rien par lui-même, dit Calvin, mais il vaut plus qu
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dre mieux que tout autre le paradoxe politique du
fédéralisme
: la liberté de chacun dans une action commune, l’équilibre vivant de