1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
1 ont en danger la nation. Et Barère poursuit : Le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton, l’émigration et la haine de la
2 ent est devenu le pont aux ânes de toute critique fédéraliste de l’État-nation. On le retrouve de nos jours dans les écrits de J. B
2 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
3 x tardifs) ; une seule nation souveraine, de type fédéraliste  ; et la question sociale, au lieu de s’exacerber, tend à se résorber
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
4 nu plusieurs exemples, dans les pays où le régime fédéraliste n’est pas seulement inscrit dans la constitution, mais pratiqué. Le
5 s peut être vu comme le fondateur de la politique fédéraliste . Voir aussi sur Althusius l’indispensable et richissime ouvrage de Pi
6 pire également, sur ce sujet l’Histoire de l’idée fédéraliste , de Bernard Voyenne, Paris, 1976. 124. Carl J. Friedrich, introducti
7 . Tout ce latin doit démontrer que le vocabulaire fédéraliste est plus ancien que celui de l’État-nation des jacobins, et n’est pas
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
8 lidarité continentale, cette formule dynamique du fédéralisme intégral trouve ici sa première expression spontanée. Les troupeaux d
9 biologistes ou artisans, éducateurs ou méditants, fédéralistes européens ou mondiaux… Cet immense potentiel d’activités ne trouve pa
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
10 dire à l’inverse des formules préconisées par les fédéralistes  ? Je serai le dernier à prendre à la légère une confusion qui porte e
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
11 que sous la forme d’un mini-État-nation. Un vrai fédéraliste veut tout autre chose, il veut même à peu près le contraire. La loi f
12 listes français, puis reprises par la plupart des fédéralistes européens, et concluant à la nécessité des petites unités de base, à
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
13 improviser sur table rase. Les deux constructions fédéralistes les plus réussies jusqu’ici portent les traces universelles de leur g
14 s aux deux principales expériences historiques du fédéralisme . Le but est la liberté des personnes, non la puissance collective de
15 s écrit dès 1940 et devais le réitérer au congrès fédéraliste de Montreux en 1947 : « Il n’y a, dans le monde du xxe siècle, que d
16 ère-plan —, il y a le totalitarisme, et il y a le fédéralisme . Une menace et une espérance. Le totalitarisme est simple et rigide,
17 ple et rigide, comme la guerre, comme la mort. Le fédéralisme est complexe et souple, comme la paix, comme la vie. » Cette antithès
18  » Si l’on s’en tient aux nombres, les mouvements fédéralistes européens touchent beaucoup plus de jeunes que les sectes gauchistes.
19 uvements personnalistes des années 1930, puis aux fédéralistes européens ou mondialistes de l’après-guerre. Je vois des signes. L’év
20 radio « au niveau de la verticalité ». La méthode fédéraliste exige la distinction constamment renouvelée des niveaux décisionnels,
21 a marine de guerre française. 189. « L’attitude fédéraliste  », L’Europe en jeu, Neuchâtel, Éditions de la Baconnière, 1948, p. 80