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s recettes du nationalisme arrogant que celles du
fédéralisme
solidaire. Plus facile de décréter le parti unique que d’obtenir le c
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el sera le thème dominant des premiers congrès de
fédéralistes
européens une fois les hostilités terminées, de 1945 à 1947. Dès 1946
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rt issus de la Résistance, se disent expressément
fédéralistes
. Les autres, dans le respect des formules établies, se veulent simple
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s nationaux, non pas élus par les peuples. L’élan
fédéraliste
est cassé. En 1949, Jean Monnet inspire et Robert Schuman réalise un
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et la désaffection dans les rangs de la jeunesse
fédéraliste
. D’une part, les jeunes d’aujourd’hui ne sentent plus ce que signifia
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serait déraisonnable d’espérer que les mouvements
fédéralistes
, si dynamiques aux lendemains de la guerre, réussissent à mobiliser,
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’est dire la déception des vrais européistes, des
fédéralistes
, partisans d’une authentique délégation de pouvoirs aux divers niveau
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serait la formule d’une telle union : unitaire ou
fédéraliste
? Périodiquement, certains proposent de confier à la CEE des « compét
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rminal des mouvements écologistes, régionalistes,
fédéralistes
européens, organiquement liés dans leur genèse par une même réaction
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ccroissement (hors inflation) du PNB. 2. Congrès
fédéraliste
de Montreux, 1947. Congrès de l’Europe à La Haye, 1948. Congrès écono
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is contre le régionalisme en soi, contre l’esprit
fédéraliste
, contre l’Europe, contre la Liberté dans le monde de demain. Reven
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ent les très nombreux colloques organisés par les
fédéralistes
européens, par les instituts universitaires d’études européennes (il
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uer leur convergence décisive avec les mouvements
fédéralistes
et régionalistes. Autour de ces colloques, dont chacun marque un prog
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ées par le refus buté de toute espèce de solution
fédéraliste
, de toute reconnaissance réelle du droit des peuples à se déterminer
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ncipal non seulement à sa propre régionalisation (
fédéralisme
interne) mais aussi à toute intégration dans l’ensemble européen cont
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e classes : les États en voie de décentralisation
fédéraliste
(voir Annexe 3) ; les organisations européennes intergouvernementales
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nnelles ou en voie de le devenir ; les mouvements
fédéralistes
et les mouvements écologistes. Les États en voie de fédéralisation in
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te pour l’Europe, le lieu du combat décisif entre
fédéralisme
et stato nationalisme. Une percée silencieuse s’y est produite, encor
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nationales absolues, et qui tient toute tendance
fédéraliste
pour indécente, il faut entendre par « confrontation » coopération et
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cléaire. C’est-à-dire, très exactement ce que les
fédéralistes
avaient voulu éviter en proposant la CED, et les nationalistes en la
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nation. Les écologistes, les régionalistes et les
fédéralistes
européens rejettent tous les notions de productivité sans freins soci
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qui se dirait européen, écologiste, régionaliste,
fédéraliste
… C’est le programme de ceux qui, dans tous les partis, voient venir l
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ison pour qu’une Europe écologique, régionaliste,
fédéraliste
, devienne l’affaire d’un seul parti, forçant du même coup tous les au
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l’évidence des thèses écologistes, régionalistes,
fédéralistes
, qu’elles soient ou non rituellement condamnées par l’« appareil » de
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e sur les principes écologiques, régionalistes et
fédéralistes
. Une société qui n’ait pas pour but la Puissance (des États ou des co
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didats, les militants écologistes, régionalistes,
fédéralistes
, les élus nationaux et locaux, quelques ministres, un ou deux chefs d
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tention avouée de l’affaiblir. En fait, ce régime
fédéraliste
et régionaliste explique en bonne partie le « miracle » de la restaur
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ura proposé une meilleure approximation du modèle
fédéraliste
intégral. Reste le cas décisif des régions transfrontalières. Les col