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lle et concrète que nous poserons les bases de la
fédération
, qui est notre seul espoir de la sauver. Primauté de la culture en
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lques-uns des problèmes brûlants que nous pose la
fédération
. Tout d’abord, celui des nations. La diversité des nations, correspon
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our sauver nos diversités (le sens de La Haye) »,
Fédération
, Paris, n° 41, juin 1948, p. 14-15.
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les voix concertées de l’Europe, proclament leur
fédération
, pourront se faire entendre au monde entier comme la voix forte enfin
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me certains « grands » prendre l’initiative d’une
fédération
européenne ou mondiale. L’échec de Napoléon et celui d’Hitler dans le
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t active à l’un de ces congrès où s’élabore notre
fédération
européenne. Car c’est précisément quand on veut les unir, qu’on décou
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les voix concertées de l’Europe, proclamant leur
fédération
, pourront se faire entendre au monde entier comme la voix forte enfin
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« Pour sauver la paix : commencer par l’Europe »,
Fédération
, Paris, n° 49, février 1949, p. 70-77.
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u’on attend de nous dans l’œuvre collective de la
fédération
. Qu’on ne pense pas, surtout, qu’il s’agisse là d’une manière de nous
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onseil de l’Europe étant acquis), à mesure que la
fédération
du continent se dessine et prend corps, la nécessité de lui donner un
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voient combattus par l’élan vers l’union, vers la
fédération
, dont témoignent notre Mouvement, l’espoir encore tremblant des masse
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proprement européen, c’est celui de réussir notre
fédération
, et de retrouver par là même une puissance capable d’imposer la paix.
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(NDLR). l. « Raisons et buts d’une conférence »,
Fédération
, Paris, n° 60, janvier 1950, p. 19-25. Il s’agit du discours prononcé
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oir effacer les diversités sans lesquelles aucune
fédération
n’est possible. » C’est la seule page de ce gros livre où vous aviez
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prononcée par Denis de Rougemont au congrès de La
Fédération
à Beaune. Nous tenons à remercier M. de Rougemont pour son autorisati