1
elle sera normalement celle du bon citoyen d’une
fédération
. La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : « Un pour tous, tou
2
par une loi rigide et uniforme, puisque dans une
fédération
l’on peut toujours adhérer à divers groupes, l’un religieux, l’autre
3
frontières extérieures des groupes qui forment la
fédération
, il cherche à vivifier leurs foyers. Et de la sorte, à l’équilibre mé
4
es particulières ». Elle doit donc s’organiser en
fédération
de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de relations ecclé