1 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
1 elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération . La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : « Un pour tous, tou
2 par une loi rigide et uniforme, puisque dans une fédération l’on peut toujours adhérer à divers groupes, l’un religieux, l’autre
3 frontières extérieures des groupes qui forment la fédération , il cherche à vivifier leurs foyers. Et de la sorte, à l’équilibre mé
4 es particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de relations ecclé
2 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
5 ’un dépassement de nos stato-nationalismes par la fédération continentale ; d’un dépassement de la croissance à tout prix des form
6 NT ». Condamner l’Europe et ne rien faire pour sa fédération , c’est priver le tiers-monde des seuls moyens de s’en tirer sans cata
7 s pages, et qui vont des petites communautés à la fédération du continent, première base d’un ordre mondial. Déjà, lors d’élection