1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 s leurs différences essentielles. Si demain notre fédération s’établit à Strasbourg ou ailleurs, nous dotant d’instruments moderne
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
2 anant des intéressés, que les gouvernements ou la fédération s’attachent à leur rôle d’arbitrage entre les intérêts spécifiques de
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 eté sans limites des nations. En vérité, c’est la fédération qu’ils craignent, incapables qu’ils sont de l’imaginer comme autre ch
4 use de ces maux, ceux qui entendent sauver par la fédération le meilleur de notre culture : non point la tolérance indifférente, m
5 assez bien l’extrême confusion des débats sur la fédération de l’Europe. Le fédéralisme est beaucoup moins une doctrine qu’une pr
6 on la doctrine mais l’attitude fédéraliste. 1. La fédération des nations de l’Europe doit entraîner leur fédéralisation interne :
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
7 tre la France et l’Allemagne par le moyen de leur fédération , ce serait agir en « bellicistes », puisque ce serait fermer l’Europe
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
8 u d’autres peuples et d’autres coutumes — dans la fédération austro-hongroise — il attendait de la participation de son pays au gr
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
9 nons les pays neutres de l’Europe ; adhérer à une fédération qui serait neutre aussitôt que faite, n’entraînerait plus pour eux nu
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
10 ous nos pays envahis que s’est nouée l’idée d’une fédération libre, mettant fin tout d’abord aux aventures des États-nations décha
11 rouvent une langue commune. Cela n’empêche pas la fédération suisse de tourner rond : elle n’est pas une affaire de sentiment, ni
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
12 s fédérer d’abord les efforts nécessaires pour la fédération . ao. Rougemont Denis de, « Sur l’Europe à faire (Le point de vue
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
13 devait résulter toute l’action ultérieure pour la fédération de l’Europe. Rien, ou presque rien dans la presse. Ainsi, Montreux ne
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
14 s symboles d’intérêt général européen : l’idée de fédération , dès le Pacte de Grütli, les grands cols du centre des Alpes, la papa
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
15 ques-uns, qui en feront un jour quelque chose. Fédération ou confédération ? À ceux qui ont coutume de poser cette question
16 édération des États-Unis ». Il définit ensuite la fédération comme « union politique d’États », et il donne pour exemple « la fédé
17 olitique d’États », et il donne pour exemple « la fédération américaine ». D’où l’on conclut qu’une seule et même réalité correspo
18 l’étant entre elles — encore que la définition de fédération soit inexacte, puisqu’elle ne mentionne que l’union et ne dit rien de
19 es constituantes n’aurait pas lieu d’être appelée fédération . Ce serait simplement une union. Si l’on répète qu’en dépit du Littré
20 ion helvétique est le type même d’une authentique fédération , et tous les organes communs à ses vingt-cinq États (dont la souverai
21 vrai dire, ceux qui insistent pour préférer à la fédération (« cette utopie ») une confédération (« plus réaliste ») seraient bie
22 nité nationale et de transformer la France en une fédération de petits États. » Aux yeux du Français cultivé et qui tient à savoir
23 , lié de deux manières contradictoires à celui de fédération . Pour les porte-paroles des Français d’Algérie, l’intégration signifi
24 ne peut vouloir à la fois l’absolu national et la fédération supranationale. On ne peut vouloir à la fois l’intégration de l’Algér
12 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
25 ulé Mario et le Magicien. Les partis dans une fédération Tout cela n’est pas imaginable dans un régime fédéraliste, qui est
26 litique et non politicien. Le Parlement, dans une fédération , tient toute son existence des États membres et de quelques partis re
27 est l’essence même du régime. Les partis dans une fédération étant bien moins des partis pris universels que des parties constitua
28 ù l’on prendra le pouvoir. Au contraire, dans une fédération , un parti de doctrine générale se verrait condamné à rester faible, m
29 dis qu’on n’aura pas à l’imposer aux partis d’une fédération , qui voient en elle la condition de leur succès. L’exécutif exécut
30 chronique du mois dernier, sur la question de la fédération ou de la confédération. Il semble bien que les nationalistes soient a
13 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
31 vernants. Contre cela, luttons en commun pour une fédération sincère. 133. 74 % d’opposants en novembre 1962. 134. Cette expres
14 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
32 qui rédige, pendant les Cent-Jours, le projet de fédération européenne137 que signe — hélas ! il est trop tard ! — Napoléon. Et s
33 le et même indispensable dans la neutralité d’une fédération . Il n’y a pas une chance qu’on nous offre cela, si nous, Suisses, ne
34 litique. Et c’est à quoi le gouvernement de notre fédération se refuse avec vigilance, non parce qu’il est mauvais, mais au contra
35 antages du « petit » État, unité de base de toute fédération , ont de grandes chances d’être confirmées — et sans doute de s’étendr
36 concerterait avec elles les termes d’un projet de fédération politique de l’Europe entière. Ce projet, compatible par définition a
37 rès simple. Les mêmes raisons qui veulent qu’une fédération soit gouvernée par un collège, et non par un seul homme, veulent que
38 s une capitale, mais bien un District fédéral. La fédération européenne n’étant pas une création sur table rase, mais l’aboutissem
39 evenant le District européen. Les autorités de la fédération européenne ont leur siège dans ses villes principales, Zurich, Genève
15 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
40 nementales, et ne revendique rien de moins qu’une fédération politique, sans laquelle ni l’économie ni la défense ne sauraient êtr
41 nts parlementaires de dix nations, et demandé une fédération des peuples, au lieu d’une simple société de gouvernements). Dans cet
42 érer que cette union sera le premier pas vers une fédération mondiale. L’influence des idées fédéralistes est également sensible d
43 emploi, à cinq reprises, des mots « l’union ou la fédération  » pour désigner la future Europe. Cependant, les rares précisions qu’
44 re nous, il devient très clair, désormais, que la fédération européenne ne se fera jamais sur la base « réaliste » des États-natio
16 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
45 tes (comme les régions) ou plus vastes (comme une fédération continentale). À l’intérieur de ses frontières, qu’il déclare naturel
46 je radicalise indûment l’antithèse État-nation / fédération , ramenée au dilemme Puissance ou Liberté comme finalités de l’union.
47 -nation. En instaurant les régions en deçà, et la fédération au-delà. Il faut distribuer et répartir l’État aux différents niveaux
48 transports, les relations globales avec d’autres fédérations continentales. Et vous noterez que je ne parle pas de relations ou d’
49 ice à ses fécondes diversités, et l’ampleur de la fédération exprimera l’unité millénaire de sa culture. Dira-t-on que ce programm