1
« résolution » future. Ainsi de la commune, de la
fédération
, du parlement et du régime bi-caméral, des syndicats et des coopérati
2
alliances, celle de l’intégration et celle de la
fédération
, sortirait de mon propos, qui n’est pas politique, et du cadre de ces
3
tes pour l’époque : 1° englober les Turcs dans la
fédération
européenne, ce qui équivaudrait aujourd’hui à inviter les Soviétiques
4
seur visionnaire du mouvement œcuménique et de la
fédération
mondiale, retenons le projet grandiose d’un triple tribunal supérieur
5
de Proudhon : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des
fédérations
, ou l’humanité recommencera un purgatoire de mille ans. »37 Un an plu
6
que et la culturelle, c’est-à-dire la paix par la
fédération
, jugulant l’anarchie des États souverains ; la prospérité par une éco
7
quelque forme d’association, d’intégration ou de
fédération
. Enfin, grâce aux efforts multipliés d’une trentaine d’Instituts univ
8
et de la lenteur scandaleuse des progrès vers la
fédération
! Cette impatience est nécessaire. C’est l’une des conditions vitales
9
ts, celle de l’intégration totale, et celle de la
fédération
. Mais une raison nouvelle doit forcer leur accord : c’est la nécessit
10
ir au monde nouveau l’exemple réussi d’une grande
fédération
. Dans la coïncidence que j’ai révélée entre la fin de notre impériali
11
de l’ère colonialiste — par le moyen d’une grande
fédération
. Ceux qui perdront la face aux yeux de l’histoire, ce seront ceux qui