1 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
1 « résolution » future. Ainsi de la commune, de la fédération , du parlement et du régime bi-caméral, des syndicats et des coopérati
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
2 alliances, celle de l’intégration et celle de la fédération , sortirait de mon propos, qui n’est pas politique, et du cadre de ces
3 tes pour l’époque : 1° englober les Turcs dans la fédération européenne, ce qui équivaudrait aujourd’hui à inviter les Soviétiques
4 seur visionnaire du mouvement œcuménique et de la fédération mondiale, retenons le projet grandiose d’un triple tribunal supérieur
5 de Proudhon : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations , ou l’humanité recommencera un purgatoire de mille ans. »37 Un an plu
6 que et la culturelle, c’est-à-dire la paix par la fédération , jugulant l’anarchie des États souverains ; la prospérité par une éco
7 quelque forme d’association, d’intégration ou de fédération . Enfin, grâce aux efforts multipliés d’une trentaine d’Instituts univ
8 et de la lenteur scandaleuse des progrès vers la fédération  ! Cette impatience est nécessaire. C’est l’une des conditions vitales
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
9 ts, celle de l’intégration totale, et celle de la fédération . Mais une raison nouvelle doit forcer leur accord : c’est la nécessit
10 ir au monde nouveau l’exemple réussi d’une grande fédération . Dans la coïncidence que j’ai révélée entre la fin de notre impériali
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
11 de l’ère colonialiste — par le moyen d’une grande fédération . Ceux qui perdront la face aux yeux de l’histoire, ce seront ceux qui