1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
1 . Ce ne sera sans doute qu’un premier pas vers la fédération souhaitée. Et s’il est bien certain qu’il ne sera pas suffisant, sa n
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
2 on d’un étudiant chinois au congrès mondial de la Fédération des étudiants chrétiens. (Cf. Student World, automne 1933.) 36. Tell
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
3 elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération . La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : « Un pour tous, tou
4 par une loi rigide et uniforme, puisque dans une fédération l’on peut toujours adhérer à divers groupes, l’un religieux, l’autre
5 frontières extérieures des groupes qui forment la fédération , il cherche à vivifier leurs foyers. Et de la sorte, à l’équilibre mé
6 es particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de relations ecclé
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
7 ante-huitard : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations , ou l’humanité recommencera un purgatoire de mille ans. » Au fait, no