1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
1 plus vastes qui vont déclencher l’aventure de la fédération de l’Europe, entreprise capitale de ce temps. Ici s’ouvre une « époqu
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
2 ique des Églises, origine d’un autre mouvement de fédération , qui lui aussi va s’épanouir après la guerre, et qui sera l’une des m
3 ital assuré gratuitement à tous les membres de la fédération . xiii. — L’État ne doit pas être au-dessus des personnes, mais à leu
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
4 ciens du 7e Génie ; — les blessés du poumon ; la Fédération des familles nombreuses. Cette dernière amicale d’« accidentés » est
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
5 deux principes. D’une part, la SDN ne fut pas une fédération , aucun des États constituants n’ayant renoncé à aucune de ses préroga
6 ce à toute hégémonie, au nom d’un idéal latent de fédération des peuples sur pied d’égalité. Une vague de fond s’éleva contre la p
7 ynamique de l’Occident : l’utopie agissante d’une fédération des égaux, dont la seule Suisse figurait le microcosme. C’est dans ce
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
8 aul Van Zeeland, et parlé du personnalisme, de la fédération européenne, enfin de l’art nouveau de la propagande. On me demande s’