1
qui écrivait : « Le xxe siècle ouvrira l’ère des
fédérations
, ou l’humanité recommencera un purgatoire de mille ans. » C’était ver
2
ur donner ses assises morales et doctrinales à la
fédération
européenne. C’est alors qu’apparurent en France les premiers groupes
3
la question : « Qu’a-t-on fait jusqu’ici pour la
fédération
de l’Europe ? » cet historique succinct permet donc de répondre : nou
4
faite par des ministres. Et cela ne va pas à une
fédération
, mais à quelques mesures empiriques (ils disent : pratiques) qui ne p
5
la créativité du Vieux Monde. Seul, l’idéal de la
fédération
européenne semble répondre à ces trois conditions. Depuis quelques an
6
eau de souveraineté commune, à l’échelle de notre
fédération
. Et certes, de telles créations entraîneront certains sacrifices. Il
7
devait résulter toute l’action ultérieure pour la
fédération
de l’Europe. Rien, ou presque rien dans la presse. Ainsi, Montreux ne
8
ues vont faire le reste. Contiguïté. Coexistence.
Fédérations
. Information et communication en progression géométrique. Dialogue, u
9
’éducation. Une civilisation continentale, ou une
fédération
de peuples embarqués pour un même destin, qui négligeraient encore la
10
prêtes à s’unir ! Europa : Il fut un temps où la
fédération
de l’Europe semblait à portée de la main. Les fédéralistes ont dû cep
11
e européennes. C’est le processus normal de toute
fédération
. Auparavant, si une Europe fondée sur les réalités vivantes des régi
12
supérieur à ce qu’ils décrètent leur intérêt, la
fédération
représente le principe de la vraie communauté, libre association conc
13
égion, groupe de régions (national ou sectoriel),
fédération
— et loin de se borner à décrire les institutions de la Capitale, ell