1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
1 responsabilité de la personne, d’autonomie et de fédération des groupes. b) Je suis convaincu que les promoteurs de « Concorde »
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
2 es concernent. On n’est pas loin de la Fête de la Fédération qui aura lieu en juillet de la même année, et à cette date encore on
3 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
3 la renaissance des nationalismes contre l’idée de fédération européenne, mais finalement, la montée de l’idée régionaliste et le s
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
4 élémentaire. Cette mutua confederate (mutualité, fédération à deux) « contient en germe tout l’épanouissement ultérieur ». La nat
5 commune et de l’entreprise, de la région, et des fédérations de régions superposées, la nationale peut-être encore pour un temps,
6 conseil des élus de la région, au parlement de la fédération , ou à son exécutif quand il y est délégué expressément, toutes émanat
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
7 mi ruinés, et d’en faire le premier élément d’une fédération de « communautés ouvertes », dispersées sur le continent mais reliées
8 rts américains, nous fait imaginer que Longo Maï, fédération de communautés primaires, donc seule capable en cas de crise, de s’al
9 s ouvertes et fermées que l’on voit bien ; et des fédérations que l’on compose pour assurer l’autonomie de chacun chez soi et son d
10 C’est une communauté plus vaste — région, nation, fédération  — qui devra donc les prendre en charge. Mais à l’inverse, certains en
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
11 humaine, sur l’autel du prestige national. La fédération européenne appelle les régions : elles se feront en la faisant De
12 a commune appelle la région, la région appelle la fédération continentale. Je crois bien n’avoir plus à démontrer que l’Europe des
13 porte désormais toutes nos chances, celles d’une fédération de nos peuples, non d’une coalition de leurs tyrans. Le Monde appe
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
14 s mesures écologiques, mais c’est au niveau de la fédération que les études fondamentales peuvent être faites, les études régional
15 s l’égide d’un État fédéral, il écrivait. « Notre fédération à nous, c’est celle des communes socialistes organisées fédérativemen
16 branches d’occupation productive, formées par la fédération libre des associations autonomes dans chaque occupation ou métier. »
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
17 ntradictoire avec la tendance qui nous porte à la fédération du Continent. Car seules les petites unités accepteront de se fédérer
18 ches de dimensions plus vastes, à l’échelle de la fédération , par les délégations du peuple européen.   6. — Dépasser ce qui est…
19 onaux ; — qu’elle permet, implique et promeut une fédération de l’Europe, sur la base des communautés de toute nature, complémenta
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
20 15Stratégie Des régions à la fédération européenne Point de régions sans fédération. Mais si les vraies ré
21 la fédération européenne Point de régions sans fédération . Mais si les vraies régions sont des grappes de communes, il faudra q
22 t des grappes de communes, il faudra qu’une vraie fédération de l’Europe soit une grappe de régions et non d’États : c’est ce qu’o
23 ational et dans son système de valeurs. Une vraie fédération ne se fonde pas sur des États coalisés, mais sur des groupes antérieu
24 se durant l’année 1848 : l’achèvement d’une vraie fédération . Ce qui ne saurait se faire en neuf mois. En neuf mois, on peut certe
25 opportune entre États. Mais pour fonder une vraie fédération , il faut partir des hommes non des États, et pratiquement des commune
26 ême avec les autres. Que la Suisse soit une vraie fédération , fondée sur les petites communautés de base, voilà qui est démontré d
27 insi tenu de refaire le parcours historique de la fédération dont il veut devenir membre, et de récupérer le passé du pays où il a
28 Ces procédures contrastées dénotent deux types de fédération , l’une fondée sur le passé et les petites communautés de base, l’autr
29 . L’histoire rend compte de l’antithèse. La vraie fédération des Suisses n’a pas pris neuf mois pour se faire, mais cinq siècles.
30 é municipale et régionale183.) En cette phase, la fédération seule peut garantir l’autonomie des groupes qui la composent (alors q
31 r leur autonomie sauront vouloir et constituer la fédération européenne, contre l’affirmation désespérée et de plus en plus brutal
32 onales. (Interaction mutuellement créatrice de la fédération et des communautés de personnes.) La répartition des pouvoirs de déci
33 es regardent. Ce qui suppose nécessairement : une fédération continentale dont les régions seront les unités de base. Je l’avais é
34 e des Russes et rendra pratiquement impossible la fédération de nos peuples. D’où satellisation par les deux Grands et fin de l’Eu
35 s dans l’Europe de l’Ouest, pour remonter vers la fédération qu’elles peuvent seules rendre possible, et qui pourra seule garantir
36 ation fédérale, entre les régions autonomes et la fédération continentale. Quant à « la France », à « l’Allemagne », à « la Suisse
37 uaniers ? Pour franchir la dernière étape vers la fédération continentale, il suffira sans doute alors d’élire un véritable Parlem
38 éennes — mais là seulement — les régions et leurs fédérations restant autonomes pour toutes les tâches de dimensions régionales. Or
39 municipales, sans lesquelles pas de régions ni de fédération , et qui sont beaucoup plus faciles à obtenir que les grands abandons
40 ’un dépassement de nos stato-nationalismes par la fédération continentale ; d’un dépassement de la croissance à tout prix par des
41 NT ». Condamner l’Europe et ne rien faire pour sa fédération , c’est priver le tiers-monde des seuls moyens de s’en tirer sans cata
42 s pages, et qui vont des petites communautés à la fédération du continent, première base d’un ordre mondial. Déjà, lors d’élection