1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 es et qu’il s’agit de regarder d’un œil actif. Février 1934 Les gens. — Du haut des dunes, je vois les terres divisées e
2 s défauts sautent aux yeux du premier venu. 13 février 1934 La presse. — Je note à l’usage d’un futur historien des mœur
3 et l’un de ces petits journaux de campagne. 15 février 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de philanthrope, je cherchera
4 de Paris, faire la loi dans notre village ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — En revenant de la
5 chevaline, ce serait pareil, maintenant… » Fin février 1934 Sur la pauvreté. — Elle n’est un problème social si grave qu
6 umanité vaut quelque chose, sans le savoir. 28 février 1934 Gens. — Il est très impressionnant de se demander en face de
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7 temps, sobre et gaie, pauvre et spirituelle… 2 février 1935 Je m’en doutais bien, et la mère Calixte me le confirme : Sim
8 ces jours que j’écris « pour les journaux ». 3 février 1935 Déclassé. — L’intellectuel l’est toujours. C’est qu’il est d
9 bourgeois ou des défenseurs du prolétariat. 25 février 1935 Le « problème des gens ». — Kangourou de Lawrence, ce journa
10 e universelle, — la révélation du Prochain. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir, le sujet de l’entretien était
11 léchir sur les raisons de ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort vent doux passe de grandes caresses sur le pelage d’o
12 e ronde. Il y a quelque chose à comprendre… 23 février 1935 Au moment où ma femme allait secouer les miettes de la nappe
13 érieux à faire là-bas ? Je vais m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le