1
sa 1. Les sources de l’idée de commune 20
février
1970 La commune urbaine ou cité-État qui se manifeste au Moyen Âge a
2
r comme tels et manifester leur participation. 27
février
1970 Dans toute l’Europe, l’esprit des communes, c’est d’abord une vo
3
s. 2. communes, communautés, universités 20
février
1970 Deux types de communautés sont très typiques du Moyen Âge : les
4
ssion seule admissible de la volonté générale. 17
février
1967 Il s’agit de recréer des possibilités de communauté humaine défi
5
nes communautés étant des communautés natives. 17
février
1967 L’homme est à la fois libre et responsable ; donc, il n’est pas
6
e. 5. Dimension politique et fédéralisme 10
février
1967 Megalopolis est une sorte de limite, qu’on est en train d’attei
7
inera les formes de notre existence politique. 19
février
1976 Quand une ville devient trop grande, il n’est plus question qu’e
8
es ou à leurs réunions au conseil de la ville. 10
février
1967 Ce qui est frappant dans la plupart des ouvrages sur l’urbanisme
9
à ce qui garantit la justice égale pour tous. 17
février
1967 Je ne préconise absolument pas le retour aux communes anciennes.
10
tre obtenu qu’en groupant des petites communes. 3
février
1967 Les variations de dimensions et de formes des cités corresponden
11
onnaissons le tout, la généralité de l’univers. 4
février
1972 Aux xvie , xviie et xviiie siècles vont se constituer des fina
12
rler de sexe : ces deux sujets étaient tabous. 11
février
1972 Aujourd’hui, la prétention scientifique à la direction de la soc
13
le Moyen Âge, et sans doute jusqu’à nos jours. 27
février
1970 Le dernier groupe de valeurs de base de la civilisation occident
14
nation révolutionnaire et un imperium romain. 11
février
1977 Pour le roi, pour l’État absolu, il n’est pas question de dire q
15
inalement l’État, le reste, c’est une mystique. 2
février
1968 Nous avons vu à propos de la langue et de la religion, que ce ne
16
s caractéristiques de la culture européenne 17
février
1964 Si l’Europe ne s’est pas unie avant cette deuxième moitié du xxe
17
de leur tissu organisé à l’échelle européenne. 24
février
1967 Déjà partout, les réalités régionales minent et grignotent la no
18
politique fédéraliste, au sens le plus large. 18
février
1966 Il y a, dit-on en termes philosophiques, une homologie essentiel
19
ersité solidement tenu par des institutions. 6
février
1969 La fédération est le dernier régime apparu dans l’histoire des r
20
si une des deux absorbe l’autre complètement. 11
février
1977 Il y a complémentarité parfaite des notions de fédéralisme et de
21
é, on cerne la question de beaucoup plus près. 17
février
1964 La fédération est faite de tensions, entre des diversités qui so
22
4. Les finalités : puissance ou liberté ? 11
février
1977 Le but de la fédération n’est pas la puissance, mais l’autonomie
23
communales et personnelles, mais rien de plus. 4
février
1977 Une fédération n’est pas née pour une puissance collective, mais
24
5. Moyens et stratégies d’une fédération 3
février
1972 Le lieu où la personne se forme en s’actualisant est le groupe l
25
s la plupart des domaines importants de la vie. 9
février
1968 C’est à nous, c’est-à-dire que c’est à tous et à chacun d’assume
26
l’on y est forcé, dès l’instant où on le peut. 3
février
1972 Les écocatastrophes désormais calculables nous contraignent à ch
27
e la cité et de la personne dans la communauté. 9
février
1968 Il faut s’habituer à penser en tension quand il y a des antinomi
28
, ne peut jamais être utilisé comme instrument. 3
février
1964 Les réalistes transigent toujours très facilement sur les fins.
29
yens adéquats de la part des hommes politiques. 3
février
1964 On pourrait aller plus loin dans la critique des utopies et dire
30
ité, et la coexistence féconde des contraires. 18
février
1966 L’Occident, dans les meilleurs moments de sa tradition intellect
31
sociales, le rapport social entre les hommes. 11
février
1966 Dans ce que l’on appelle l’ère moderne, qui commence avec la Ren
32
ébats théologiques, mais dans d’autres termes. 11
février
1966 À partir de l’édit de Milan en 313, le facteur spirituel est dev
33
La personnek 1. Individu et personne 18
février
1966 La personne, dans l’individu humain, c’est la partie de nous-mêm
34
arce qu’il n’est pas déterminé par l’empereur. 25
février
1966 À la notion grecque d’individu a correspondu chez eux la notion
35
n à la vie civique des habitants de cette cité. 3
février
1972 Dans la plupart des définitions de la personne : libre et respon
36
s, est faite de tensions en équilibre mouvant. 18
février
1966 La personne se définit comme une réalité paradoxale, toujours. E
37
e la politique est une morale de la communauté. 3
février
1972 L’écologie et la personne ont les mêmes ennemis, les mêmes condi
38
t qui est le module de tout régime fédéraliste. 4
février
1966 C’est au Moyen Âge, vers les xie , xiie , xiiie siècles et beau
39
ues dans les catégories de base du fédéralisme. 2
février
1968 La Révolution française marque un seuil dans l’évolution de la n
40
u lieu que ceux-ci soient au service de l’État. 9
février
1968 La puissance et la liberté sont évidemment antinomiques, mais n’
41
toutes couleurs 5. Autorité et pouvoir 4
février
1966 Il faut toujours maintenir cette différence, cette distinction e
42
personne. 7. Utopie, langage, politique 10
février
1964 Le politicien part de l’idée que la politique est l’art du possi
43
Régionn 1. Définitions 24
février
1967 La région n’est pas une province (au sens ancien). La région est
44
alité politique de base de l’Europe de demain. 24
février
1967 Les régions sont, en puissance, les vraies autonomies de la fin
45
tir qu’au triomphe de l’armée et de la police. 28
février
1969 Les libertaires (ceux de l’Europe de l’Est, comme Kossuth ou Mic