1 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
1 pinion du chef suprême des forces américaines, le général Marshall . La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
2 tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le général Marshall ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
3 es connus, y compris Alexandre », je pense que le général Marshall a tort, si le docteur Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situ
4 arriveront une heure trop tard. Il se peut que le général Marshall , qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
5 et retourner le feu, comme on disait naguère. Le général Marshall l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI. Le savant et le général
6 pinion du chef suprême des forces américaines, le général Marshall . La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
7 tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le général Marshall ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
8 es connus, y compris Alexandre », je pense que le général Marshall a tort, si le Dr Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situation
9 arriveront une heure trop tard. Il se peut que le général Marshall , qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
10 et retourner le feu, comme on disait naguère. Le général Marshall l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI . Le savant et le général
11 pinion du chef suprême des forces américaines, le général Marshall . La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
12 tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le général Marshall ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
13 es connus, y compris Alexandre », je pense que le général Marshall a tort, si le docteur Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situ
14 partiront une heure trop tard. Il se peut que le général Marshall , qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
15 et retourner le feu, comme on disait naguère. Le général Marshall l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
4 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
16 de l’armée de terre », disait devant le Sénat le général Marshall . « Je vous abandonne volontiers l’infanterie, déclarait en substance
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
17 r raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall  : « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942 Saint-John Per
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
18 r raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall  : « Nous débarquerons en France. » 26 juin 1942 Déjeuné chez de
7 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
19 r raid anglais de mille avions, et la promesse du général Marshall  : « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942 Saint-John Perse. —