1
pinion du chef suprême des forces américaines, le
général Marshall
. La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
2
tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le
général Marshall
ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
3
es connus, y compris Alexandre », je pense que le
général Marshall
a tort, si le docteur Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situ
4
arriveront une heure trop tard. Il se peut que le
général Marshall
, qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
5
et retourner le feu, comme on disait naguère. Le
général Marshall
l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
6
pinion du chef suprême des forces américaines, le
général Marshall
. La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
7
tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le
général Marshall
ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
8
es connus, y compris Alexandre », je pense que le
général Marshall
a tort, si le Dr Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situation
9
arriveront une heure trop tard. Il se peut que le
général Marshall
, qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
10
et retourner le feu, comme on disait naguère. Le
général Marshall
l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
11
pinion du chef suprême des forces américaines, le
général Marshall
. La bombe atomique, déclare-t-il, devant une commission parlementaire
12
tons : et voilà qui suppose une force armée. » Le
général Marshall
ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre purement technique oubli
13
es connus, y compris Alexandre », je pense que le
général Marshall
a tort, si le docteur Oppenheimer a raison. Mettons-nous dans la situ
14
partiront une heure trop tard. Il se peut que le
général Marshall
, qui a su tout cela mieux que personne au monde, ait mystérieusement
15
et retourner le feu, comme on disait naguère. Le
général Marshall
l’aurait-il oublié, lorsqu’il parle tout tranquillement d’« un proces
16
de l’armée de terre », disait devant le Sénat le
général Marshall
. « Je vous abandonne volontiers l’infanterie, déclarait en substance
17
r raid anglais de mille avions, et la promesse du
général Marshall
: « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942 Saint-John Per
18
r raid anglais de mille avions, et la promesse du
général Marshall
: « Nous débarquerons en France. » 26 juin 1942 Déjeuné chez de
19
r raid anglais de mille avions, et la promesse du
général Marshall
: « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942 Saint-John Perse. —