1 entissage de la vie : tout servira plus tard : Ô garçons , il y a un brin du myrte civique tressé dans vos couronnes de laurier

2 humeur printanière, Urbain donc, premier mauvais garçon d’une race entre toutes bénie — par qui ? elle était anticléricale, o

3 cher dans le souvenir les vent-coulis de la mort. Garçon , un café, un ! » Mais l’étoile chantait dans l’axe de sa vie normale

4 n, du moins à Neuchâtel même : Eugène Bouvier. Ce garçon aux allures discrètes promène sur le monde des yeux de Japonais d’une

5 verses et de curiosités grossières de la part des garçons . « Encore une proie inutile lâchée pour l’ombre, dit Gérard d’un ton

6 rançais — et je ferais de la peine à d’excellents garçons . Revenons au civil. Au village, quand on vous parle avec respect et t

7 sais un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans : « J’ai bien su mater les quarante hommes de ma secti

8 -midi entiers devant les deux verres d’eau que le garçon renouvelle de temps à autre, à lire des potins tout en essuyant une m

9 rançais — et je ferais de la peine à d’excellents garçons . Revenons au civil. J’ai fait allusion au lieutenant-instituteur qui

10 nais un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans : « J’ai bien su mater les quarante hommes de ma secti

11 toute fière de mes genoux griffés comme ceux des garçons , et le soir quand on me faisait souhaiter dans ma prière « qu’il fass

12 verses et de curiosités grossières de la part des garçons . « Encore une proie inutile lâchée pour l’ombre, dit Gérard d’un ton

13 e jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à cheval dès 6 ans ; plus tard on leur confie des poulains à dresser

14 bout du compte il y aura un an de prison pour ce garçon sérieux et maître de lui, qui sourit parfois doucement derrière ses l

15 que la révolution, c’était une bande de méchants garçons . Puis vous avez pensé que c’étaient des gens dangereux et avides. Et

16 e jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à cheval dès 6 ans ; plus tard on leur confie des poulains à dresser

17 urs payent leurs achats, les clients appellent le garçon pour régler leurs consommations. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’

18 filles sortant de l’école des Terreaux. Nous, les garçons , tenons notre « colloque » sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous par

19 et de la caserne, où l’on se moque sans pitié des garçons qui « raffinent », c’est-à-dire parlent avec un peu d’aisance. Cette

20 ssion, mais il n’en parla pas »), et servi par un garçon triste qui perd le vol-au-vent, inexplicablement. Tâchez de ne pas ri

21 e devoir en 1934, en pleine crise économique, des garçons qui se croient « réalistes » venir défendre le régime capitaliste au

22 que la révolution, c’était une bande de méchants garçons . Puis vous avez pensé que c’étaient des gens dangereux et avides. Et

23 il porte une alliance. Pauvre gaieté de la vie de garçon , reprise par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village. « 

24 que la révolution, c’était une bande de méchants garçons . Puis vous avez pensé que c’étaient des gens dangereux et avides. Et

25 ée par l’instituteur dans la salle de l’école des garçons . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur

26 ais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redo

27 tin, suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons . Il n’a pas répondu à mon salut. 11 décembre 1933 À la cuisine

28 remplacements d’institutrices. Ils ont déjà deux garçons , et ils ont trouvé le moyen de recueillir encore une vieille Bretonne

29 urprit davantage, ce fut la question franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouvert : « Pensez-vous qu

30 son père qui est vigneron non loin d’ici. Curieux garçon  : j’en suis encore à me demander ce qui l’amenait. Pendant tout l’ent

31 de toute espèce d’intelligence). Ce n’est pas un garçon de sa trempe qui inventa le slogan défaitiste : moins d’idées ! Mais

32 il porte une alliance. Pauvre gaieté de la vie de garçon , reprise par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village. « 

33 ée par l’instituteur dans la salle de l’école des garçons . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur

34 ais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redo

35 tin, suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons . Il n’a pas répondu à mon salut. 12 décembre 1933 Tout à l’heure, en

36 urprit davantage, ce fut la question franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouvert : « Pensez-vous qu

37 remplacements d’institutrices. Ils ont déjà deux garçons , et ils ont trouvé le moyen de recueillir encore une vieille Bretonne

38 re pour retirer mes malles et le lit de mon petit garçon . — Si c’était un chariot de bébé, me dit-on, il passerait. Mais c’est

39 éma de ce premier échange. 3. De 6 à 12 ans, les garçons fort partie du Jungvolk ; de 12 à 18 ans, de la Hitlerjugend ; à 18 a

40 passe l’hiver avec sa femme et Colinet, son petit garçon . Denis de Rougemont est grand, souple, il a la réserve affable des Su

41 t, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes. Après Noël, au temps où l’Enfant est trop

42 t, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes. Après Noël, au temps où l’Enfant est trop

43 t, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes. Après Noël, au temps où l’Enfant est trop

44 , ne s’est pas épargné : « Je ne suis qu’un petit garçon qui s’amuse — doublé d’un pasteur protestant qui l’ennuie. » Type de

45 , ne s’est pas épargné : « Je ne suis qu’un petit garçon qui s’amuse — doublé d’un pasteur protestant qui l’ennuie ». Type de

46 soit rien, ni homme d’affaires, ni professeur, ni garçon d’ascenseur, — quelqu’un qui ne professe aucune profession, un spirit

47 ans les églises protestantes de la campagne ; les garçons d’ascenseur galonnés comme des généraux d’opérette ; le culte méticul

48 de petits marins, de soldats presque imberbes, de garçons qui n’ont pas encore l’âge militaire. La frénésie rythmique des jitte

49 s se voir, dans une demi-obscurité rougeâtre. Des garçons seuls, assis sur des banquettes tournant le dos à la piste, regardent

50 56e rue, à l’ouest, un jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’oreille : — Pouvez-vous céder votre table, nous avon

51 ille. Il entre avec sa femme. Il a l’air d’un bon garçon bien correct et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et St

52 lard de soie rose feu. — « Papa, me dit mon petit garçon , c’est Miss Hepburn ! » — « C’est moi ! », dit-elle en lui pinçant la

53 eau. C’est donc au nom du Petit Père, et du Brave Garçon , et de l’Esprit bourgeois que la Bombe doit être administrée. Notez q

54 eau. C’est donc au nom du Petit Père, et du Brave Garçon , et de l’Esprit bourgeois, que la Bombe doit être administrée. Notez

55 eau. C’est donc au nom du Petit Père, et du Brave Garçon , et de l’Esprit Bourgeois, que la Bombe doit être administrée. Notez

56 oulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon , c’est Miss Hepburn ! » — « C’est moi ! », dit-elle en lui pinçant la

57 e que je pense du monde et de son train. C’est un garçon d’une quarantaine d’années. Le premier soir, il m’a dit mon prénom, l

58 oulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon , c’est Miss Hepburn ! » — « C’est moi ! », dit-elle en lui pinçant la

59 urs payent leurs achats, les clients appellent le garçon pour régler leurs consommations. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’

60 e jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à cheval dès 6 ans ; plus tard on leur confie des poulains à dresser.

61 que la révolution, c’était une bande de méchants garçons . Puis vous avez pensé que c’étaient des gens dangereux et avides. Et

62 ée par l’instituteur dans la salle de l’école des garçons . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur

63 ais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redo

64 tin, suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons . Il n’a pas répondu à mon salut. 11 décembre 1933 À la cuisine

65 remplacements d’institutrices. Ils ont déjà deux garçons , et ils ont trouvé le moyen de recueillir encore une vieille Bretonne

66 urprit davantage, ce fut la question franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouvert : « Pensez-vous qu

67 son père qui est vigneron non loin d’ici. Curieux garçon  : j’en suis encore à me demander ce qui l’amenait. Pendant tout l’ent

68 de toute espèce d’intelligence). Ce n’est pas un garçon de sa trempe qui inventa le slogan défaitiste : moins d’idées ! Mais

69 il porte une alliance. Pauvre gaieté de la vie de garçon , reprise par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village. « 

70 re pour retirer mes malles et le lit de mon petit garçon . « Si c’était un chariot de bébé, me dit-on, il passerait. Mais c’est

71 ma de ce premier échange. 50. De 6 à 12 ans, les garçons font partie du Jungvolk ; de 12 à 18 ans, de la Hitlerjugend ; à 18 a

72 e que je pense du monde et de son train. C’est un garçon d’une quarantaine d’années. Le premier soir, il m’a dit mon prénom, l

73 ement dans un univers qui croit aux règles : « Le garçon qui a violé outrageusement les règles du football peut être ou bien p

74 oulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon , c’est Miss Hepburn ! — C’est moi ! », dit-elle en lui pinçant la jou

75 urs payent leurs achats, les clients appellent le garçon pour régler leurs consommations. C’est beaucoup d’ordre encore, si l’

76 ans les églises protestantes de la campagne ; les garçons d’ascenseur galonnés comme des généraux d’opérette ; le culte méticul

77 de petits marins, de soldats presque imberbes, de garçons qui n’ont pas encore l’âge militaire. La frénésie rythmique des jitte

78 s se voir, dans une demi-obscurité rougeâtre. Des garçons seuls, assis sur des banquettes, le dos tourné à la piste, regardent

79 isme comme Roland transperçait les Sarrazins. Bon garçon , le chapeau de travers sur quelques idées simples mais honnêtes, il s

80 55e rue, à l’ouest, un jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’oreille : — Pouvez-vous céder votre table, nous avon

81 ille. Il entre avec sa femme. Il a l’air d’un bon garçon bien correct et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et St

82 te secondes pour vous porter au sixième étage, le garçon chantonne, les passagers ont l’air de muser, on ne se bouscule pas po

83 : ils mordent très fort. Soudain, un solide petit garçon sortit de la foule, s’avança vers l’un des cygnes, le prit à bras le

84 dit ses ailes et se posa sur l’eau bleue. Puis le garçon se retourna, sérieux et décidé, vers le second cygne, l’empoigna, mai

85 toute fière de mes genoux griffés comme ceux des garçons , et le soir quand quelqu’un souhaitait invariablement « qu’il fasse b

86 enions conscience : nous ne sommes pas des petits garçons , nous sommes aussi forts et aussi riches de possibilités qu’aucun des

87  filles sortant de l’école des Terreaux. Nous les garçons tenons notre « colloque » sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous parl

88 et de la caserne, où l’on se moque sans pitié des garçons qui « raffinent », c’est-à-dire parlent avec un peu d’aisance. Cette

89 filles sortant de l’école des Terreaux. Nous, les garçons , tenons notre « colloque » sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous par

90 figure « le sentiment doux » de l’assistance. Les garçons défilent à cheval, en uniformes. « Sont-ce vos soldats ? » demande le

91 renonce au mariage pour mieux jouir de sa vie de garçon . Il a des mots atroces lors de leur séparation : « Elle me demanda :

92 t du terme de vocation. L’on dit ainsi d’un jeune garçon qu’il a une vocation d’avocat, ou de poète ; c’est qu’il aime à discu

93 figure « le sentiment doux » de l’assistance. Les garçons défilent à cheval, en uniforme. « Sont-ce vos soldats ? » demande le

94 er correctement son âge mental, qui est celui des garçons jouant aux billes, justement. L’Amérique peut lancer dans un an des s

95 renonce au mariage pour mieux jouir de sa vie de garçon . Il a des mots atroces lors de leur séparation : « Elle me demanda :

96 ant du terme de vocation. On dit ainsi d’un jeune garçon qu’il a une vocation d’avocat, ou de poète ; c’est qu’il aime à discu

97 où il décrit sa première expérience avec un jeune garçon , il proclame sur le mode majeur cela même dont il gémira en tant d’au

98 n Dieu ! il faut parler de la suite ! Et d’abord, garçon  ! deux fines à l’eau ! » À cette « suite », nous avons collaboré pend

99 e découvre une vocation très différente. Les deux garçons parlaient de leur avenir, et soudain Joseph s’écrie : « Comme je voud

100 , ne fit que perfectionner la trouvaille du petit garçon qui avait été ainsi, sans le savoir, l’inventeur de l’automation créa

101 matin, et je tirais les cartes. Un grand et fort garçon , dans la trentaine, beau visage plein et carré, aux yeux bleus écarté

102 s mères, on vend les petites filles et les petits garçons  ; c’est que, les enfants trop petits pour être vendus, on les fend en

103 là-dessus une anecdote qui résume tout. Un petit garçon de 6 ans disait à sa grand-mère, bonne protestante de Genève : « Gran

104 en classe des travaux de couture pendant que les garçons recevaient des leçons d’instruction civique. On prétend aussi que not

105 te pour le remettre à l’imprimerie. À l’hôtel, un garçon lugubre m’apporta des kippers, de la bière, et une table de bridge. À

106 st la passion Mais où est le roi Marc entre le garçon et la fille qui se marient « avec passion » ? Il n’y en a plus, aujou

107 juger. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Mais le garçon de 18 ans peut obtenir un sursis… Michel Barde. — Il y en a qui se pr

108 Bernard Béguin. — Cela veut dire, en fait, qu’un garçon de 20 ans condamné pour objection de conscience — vous avez dit que c

109 consiste pas à tout casser, comme le croient les garçons de 15 ans et la police ; ni même, comme le croient les journaux, à pr

110 , ne fit que perfectionner la trouvaille du petit garçon , précurseur de l’automation créatrice de loisir. Nul motif attesté n’

111 ddle West, à huit miles de Detroit, le jour où un garçon de 12 ans et demi, Henry Ford, fils d’un paysan, rencontre une « loco

112 itoris, ou les cérémonies d’initiation des jeunes garçons . 3. L’érotisme comme problème C’est donc de l’absence, non de l

113 ment de jeunes filles, un établissement de jeunes garçons , et c’est pour donner plus d’air et d’espace à ces établissements que

114 rac, poète surréaliste qui avait l’air d’un grand garçon boucher, gentil d’ailleurs. Tandis que je les salue : « Ah ! Rougemon

115 uellement interdit. Restent, pour l’érotisme, les garçons . Revenons à votre préoccupation majeure : croyez-vous à la victoire d