1
né dans la conscience des peuples pour offrir des
garanties
de durée. Prudemment, par fidélité à la continuité profonde de son hi
2
nt très bien que leur union fédérale est la seule
garantie
d’une pareille liberté. L’unité de la Suisse, en dernière analyse, es
3
Mais ils voient clairement, d’autre part, que la
garantie
des autonomies cantonales ne saurait pratiquement résider que dans la
4
ouverains. Un lien si lâche n’était qu’une faible
garantie
pour l’indépendance des cantons, en un siècle qui allait voir surgir
5
traités avec l’étranger, la guerre et la paix, la
garantie
des constitutions cantonales, l’établissement du budget fédéral et la
6
e la petitesse du territoire n’est pas en soi une
garantie
de liberté pour les peuples qui l’habitent : on a connu de petites ty
7
tionnelle liberté des cantons, car elle y voit la
garantie
la plus certaine de ses droits contre les empiètements éventuels du p
8
mblait à cette époque (de 1864 à 1918) offrir des
garanties
d’indépendance à ces organismes naissants. En 1919, Genève fut choisi
9
toire, mais elle refusa de souscrire à aucune des
garanties
territoriales que le Pacte stipulait en faveur des vainqueurs, de mêm