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ement des dépenses publiques et privées (ou PNB),
gaspillage
d’énergie, terrorisme, suicides, névroses, drogue, cancer1 et finalem
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artout dénoncées et reconnues, la lutte contre le
gaspillage
se voit confiée à des départements ministériels ad hoc. À l’examen, l
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. Il y a tout d’abord l’énorme propagande pour le
gaspillage
: producteurs d’électricité, fabricants d’autos, constructeurs d’auto
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onomies d’énergie réalisables à bref délai sur le
gaspillage
actuel constituent dès maintenant pour l’Europe sa principale source
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rgie humaine — celle que l’auto et cent formes de
gaspillage
nous incitaient à négliger, à ignorer, à condamner ! Ces mesures, par
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a très grande majorité des cas de pollution ou de
gaspillage
, les remèdes ou les moyens de prévention sont connus. Mais une série
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ergie est inséparable de celui de la réduction du
gaspillage
. Il y a aujourd’hui gaspillage des armements (à quoi sert de pouvoir
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de la réduction du gaspillage. Il y a aujourd’hui
gaspillage
des armements (à quoi sert de pouvoir tuer 3000 fois ou 33 000 fois t
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énergétique en Europe. Et de même que réduire le
gaspillage
énergétique sera bientôt la principale source d’énergie disponible (s
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és personnelles. Ils rejettent les présupposés du
gaspillage
obligé (projection des années folles d’avant 73) et de la consommatio
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le temps de travail. Produire mieux avec moins de
gaspillage
et une répartition plus fluide des efforts. Développer une agricultur
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Diminuer puis inverser les taux de croissance du
gaspillage
énergétique. Tout cela suppose des pouvoirs fédéraux européens. 3. Au