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subtil ». Ce n’est guère que dans les feuilles de
gauche
que l’on voit encore décerner l’épithète de « puissant » à des « pens
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rt de ses contemporains. Il attaque à droite et à
gauche
, utilisant tantôt la droite contre la gauche, tantôt la gauche contre
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et à gauche, utilisant tantôt la droite contre la
gauche
, tantôt la gauche contre la droite, sans que jamais un centre vif ne
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sant tantôt la droite contre la gauche, tantôt la
gauche
contre la droite, sans que jamais un centre vif ne soit rendu, par ce
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ircuit que celle d’un foyer dynamique rayonnant à
gauche
et à droite et dans bien d’autres directions nouvelles, inconnues de
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en d’autres directions nouvelles, inconnues de la
gauche
et de la droite. Il ne quitte pas le plan des erreurs qu’il attaque.