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ncy, Alpbach, et douze autres entreprises du même
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, qui sont à l’œuvre dans tous nos pays, qui font du bon travail, mais
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ter propre à l’Europe. L’action d’un Comité de ce
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est nécessairement plus lente et plus prudente que celle d’un organis
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, les à-coups prévisibles dans toute action de ce
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. Mais il y a plus. Les obstacles les plus sérieux que nous rencontron
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ions près toutes les grandes manifestations de ce
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en Europe, nous ne pouvons que nous déclarer très satisfaits de leur
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’écarte pas ces prévisions à l’aide d’un adjectif
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« alarmiste ». Il s’agit d’alarmer, précisément. Sens actuel de l’
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ent : l’Histoire ne connaît pas de document de ce
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qui ne soit le produit de nombreux compromis, et qui n’engage des ris
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sciter la mise en œuvre. La première action de ce
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entreprise par le CEC, il y a plus de quatre ans, tendait à la créati
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t pas accepter pour examen des propositions de ce
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et les considère déplacées. Il a été dit ici (en juillet) que les dir
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sés et acceptés du côté européen des sujets de ce
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(les uns très généraux, les autres plus précis) : 1. Responsabilité s
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e ses portraits par l’autre. Faut-il favoriser ce
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littéraire ? Si oui, comment l’améliorer ?) Tous ces sujets sont « br
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essent qu’aux scènes historiques et aux scènes de
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. « Le client essentiel du peintre est l’État », qui lui commande des
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dans le peu d’espace réservé aux nouvelles de ce
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, ce texte appelle quelques explications pour le public qui s’intéress
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courte vue, nationalismes vantards et utopiques (
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« la France seule »), et surtout défaitisme intellectuel et manque de
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onfronté avec des inquiétudes et des espoirs d’un
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nouveau. aw. « Avant-propos », Bulletin du Centre européen de la cu
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besoin créera sans nul doute des instituts de ce
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. Mais ils naîtront d’initiatives dispersées. Ils auront à assurer cha
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nt, une lacune habituelle dans les ouvrages de ce
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en ce qui concerne l’Italie — et l’on pouvait s’y attendre, de la par
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nstrument de travail sans nul doute unique en son
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. Mais comme tel, on souhaiterait de le voir amélioré dans ses édition
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dit que la raison d’être d’une institution de ce
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n’existe pas en théorie, mais qu’elle répond à des problèmes concrets
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ussit, qu’un type humain uniforme, une classe, un
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, une espèce d’hommes homogène : le technicien, le citoyen ajusté. Mai
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France, on compte au moins vingt instituts de ce
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, en Grande-Bretagne une quinzaine, aux États-Unis une trentaine. En I
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orte au bout du compte, dans une entreprise de ce
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, c’est la qualité personnelle des hommes qui s’y livrent : sinon une
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ar l’exercice de sa vocation, voilà sans doute le
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de solution concrète que nous pourrions préconiser, si nous voulons t
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e dixain, les rimes, les pieds, les rythmes ; les
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(tragédie, comédie, essai, ode, discours, traité, épître, etc.) et en
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sique l’harmonie et le contrepoint, les tons, les
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, l’orchestre, le concert, etc., sont des créations typiques des Europ
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es des Européens.) Cette similitude des procédés,
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et structures de l’œuvre, que nous ne voyons plus parce que trop évid
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ion, une série de propositions axiomatiques de ce
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: — L’État doit être unique et indivisible. — De son siège unique, da
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mes de Festschrift ou de mélanges représentent un
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littéraire bien défini, que je connais un peu, pour avoir collaboré à
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ux et plus… Cela, c’est le risque, le tragique du
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! Mais il y a le comique aussi, le joyeux, les jugements de fait, plu