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z peu chère. Mais bien trop chère encore pour les
gens
du pays. Les petites entreprises qui leur donnaient du travail font f
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e force, c’est certain, nous saurons tout sur les
gens
de la ville… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi
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? 10 novembre 1934 Observations nouvelles sur les
gens
. — Je vais chez les Calixte. On nous a dit que la mère a la grippe. J
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urgeoisie — où l’on s’imagine bien à tort que les
gens
du peuple sont spécialement adroits de leurs mains, débrouillards et
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e, quelqu’un qui est responsable de connaître ces
gens
mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes, quelqu’un qui a pour missio
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st que ces communistes. — Voilà. Que vous dire de
gens
que je connais si bien ? C’est difficile de les classer et je n’aime
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mplexe, comme toutes les questions capitales. Les
gens
d’ici ne gagnent presque rien. (Lui, par exemple, si je l’en crois, n
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vous diminuent. Simard m’explique encore que les
gens
s’en vont d’ici pour travailler à la ville. C’est comme partout. Bon.
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lle ici les illettrés. Ça veut dire que c’est des
gens
arriérés, quoi. Ils n’ont pas l’instruction comme nous autres. » Arri
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. L’indiscrétion, en soi, ne gêne pas beaucoup de
gens
, au contraire. Ce qui gêne, c’est plutôt la vérité telle quelle, surt
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s, la solitude devient un isolement. Il y a « les
gens
», bien sûr. C’est instructif. Mais le désir de s’instruire a des lim