1
t) ; Georges Scelle, dans son Précis du droit des
gens
, tome I, paru en 1932, généralise la méthode fédéraliste et l’étend à
2
t par les influences subies ou exercées. Pays de
gens
moyens, oui, disait Lucien Fèbvre. Mais quand ils réussissent à se dé
3
tte timidité ? L’histoire n’est pas faite par des
gens
qui défendent leur position, mais bien par ceux qui créent des positi
4
llent historien français contemporain : « Pays de
gens
moyens, oui », dit-il de la Suisse. « Mais quand ils réussissent à se
5
peinture de Nora Auric. Est-ce qu’il y a trop de
gens
sur la terre ? On le penserait devant ces tableaux, à cause du sentim
6
t révélé que les Suisses sont tout simplement les
gens
les plus heureux de la Terre. À la question : « D’une manière général
7
stätten) en vue de garantir leurs privilèges. Les
gens
d’Uri, de Schwyz et d’Unterwald possédaient en franchise et collectiv
8
nt au sous-sol, sous prétexte qu’à la surface les
gens
parlaient allemand d’un côté, français de l’autre. La CECA, puis le M
9
ntre tout barrage qui consisterait à empêcher les
gens
de s’en aller, ou bien qui consisterait à les racheter un peu plus ch
10
réant des pôles d’attraction à l’endroit d’où les
gens
s’en vont. Donc, pas par des barrages, pas d’une manière restrictive,
11
constitue un préalable. Si vous ne payez pas les
gens
suffisamment, il ne faut pas vous étonner qu’ils aillent ailleurs plu
12
es enquêtes rapides relatives à l’intérêt que les
gens
ont ou n’ont pas pour certaines émissions, et l’on transforme la qual
13
nt au sous-sol, sous prétexte qu’à la surface les
gens
parlaient allemand d’un côté, français de l’autre. La CECA, puis la C
14
u sel de la Bourgogne — produits sur lesquels les
gens
d’Aarburg prélevaient des taxes en vertu d’un privilège impérial — va
15
fédération est une mesure d’opportunisme pour des
gens
qui voient que l’on ne peut pas continuer sans faire quelque chose da
17
t Meyrin est vivant à cause de cette place où les
gens
se voient, se rencontrent. En France, aucun plan d’ensemble n’existe,
18
at public. La vraie démocratie, ce serait que les
gens
puissent discuter des projets car c’est leur vie qui va être modifiée
19
leur vie qui va être modifiée. Il faut rendre les
gens
attentifs à l’importance du cadre dans lequel ils vivent. Cela est pl
20
an d’une stagnation complète. Il faut éduquer les
gens
, les rendre sensibles à la beauté. C’est un immense problème d’éducat
21
gemont Denis de, « [Entretien] Il faut donner aux
gens
le goût des belles choses », Le Progrès, Lyon, 15 février 1969, p. 5.
22
tandis que les régions sont encore à naître. Les
gens
n’en veulent pas, de vos régions autonomes. Ils préfèrent mendier des
23
rte par la législation — dans tous les pays — aux
gens
qui veulent divorcer : le nombre des foyers détruits par le divorce é
24
que mais sociale et professionnelle qui donne aux
gens
l’occasion de vivre plusieurs vies — on change de pays, d’emploi, de
25
e — mais, en ce qui concerne l’amour, beaucoup de
gens
continuent à croire que l’analyser l’amoindrit. Une passion « inexpli
26
ez-vous ? Je suis pour tout ce qui peut aider les
gens
à prendre conscience du sérieux, de la beauté, mais aussi de la diffi
27
t qu’elle n’a rien de terne et d’ennuyeux (si les
gens
ne sont pas eux-mêmes ternes et ennuyeux). Car enfin qu’est-ce qu’un
28
oire que « ça y est », avec la réalité. Quand les
gens
cesseront de croire que la passion est l’épreuve privilégiée qui seul
29
du déséquilibre, de la passion, dans l’esprit des
gens
, c’est l’ennui. En somme, lorsqu’un homme pourra dire à une femme : «
30
possibilité d’y répondre, et un certain nombre de
gens
qui ont envie qu’on le fasse, nous les réunissons. Ceci avec un tout